Abidjan - L’ancien président américain, Bill Clinton, a jugé publiquement la réforme du système de santé du président américain actuel, Barack Oboma, comme « la chose la plus folle au monde», mettant ainsi son épouse, Hillary Clinton, candidate démocrate à l’élection présidentielle dans l’embarras.
« Nous avons donc un système fou où 25 millions de personnes supplémentaires sont assurées, mais ceux qui se démènent et travaillent 60 heures par semaine finissent par payer deux fois plus qu'avant, avec une couverture divisée par deux », a-t-il expliqué publiquement lundi.
Cette citation a été reprise par les républicains qui tentent depuis 2010 d’abroger cette réforme. « Il a dit que c'était la chose la plus folle du monde, c'est une citation exacte. Je veux le remercier d'avoir été honnête », a indiqué le candidat républicain, Donald Trump à Prescott Valley, dans l'Arizona.
"J'ai déjà dit que nous devions améliorer ce qui ne fonctionne pas et conserver ce qui fonctionne (...) Nous ferons des améliorations. Ce ne sera pas facile, mais ce sera beaucoup mieux que de recommencer à zéro, ce qui malheureusement est ce que les républicains veulent faire", a répondu Hillary Clinton lorsqu’elle a été interrogée mardi sur cette polémique.
sdaf/akn/kam
« Nous avons donc un système fou où 25 millions de personnes supplémentaires sont assurées, mais ceux qui se démènent et travaillent 60 heures par semaine finissent par payer deux fois plus qu'avant, avec une couverture divisée par deux », a-t-il expliqué publiquement lundi.
Cette citation a été reprise par les républicains qui tentent depuis 2010 d’abroger cette réforme. « Il a dit que c'était la chose la plus folle du monde, c'est une citation exacte. Je veux le remercier d'avoir été honnête », a indiqué le candidat républicain, Donald Trump à Prescott Valley, dans l'Arizona.
"J'ai déjà dit que nous devions améliorer ce qui ne fonctionne pas et conserver ce qui fonctionne (...) Nous ferons des améliorations. Ce ne sera pas facile, mais ce sera beaucoup mieux que de recommencer à zéro, ce qui malheureusement est ce que les républicains veulent faire", a répondu Hillary Clinton lorsqu’elle a été interrogée mardi sur cette polémique.
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