Yamoussoukro- La situation sécuritaire et de cohésion sociale s’est nettement améliorée de 2011 à ce jour en Côte d’Ivoire, a déclaré le directeur de l’Observatoire de la solidarité et de la cohésion sociale (OSCS), Coulibaly Tiohozon Ibrahima, faisant remarquer qu’il y a de moins en moins de conflits intercommunautaires et intracommunautaires dans le pays.
« La sécurité, même si elle n’est pas totale, il y a moins d’insécurité aujourd’hui qu’en 2011 », a déclaré M. Coulibaly, vendredi à l’occasion d’un atelier régional d’évaluation de la situation de solidarité et de la cohésion sociale dans la zone centre.
Selon le directeur de l'OSCS, les indicateurs montrent que les activités dans les stations d’essence et la circulation des automobiles qui s’arrêtaient à 18h en 2011, se déroulent désormais normalement 24h/24.
L’atelier régional de deux jours initié par l’OSCS avec l’appui des acteurs locaux a été l’occasion pour l’Observatoire de demander aux participants d’être des moniteurs d’alerte précoce, d'échanger avec la société civile sur l’état de la solidarité dans leur zone, de faire un sondage d’opinion et de connaitre leur perception de la solidarité et la cohésion sociale.
« Il s’agissait également de les amener à s’engager à remonter l’information au niveau de l’observatoire, en vue d’une meilleure prise de décision. Ce, pour prévenir les conflits et permettre à la Côte d’Ivoire de demeurer dans la paix », a souligné le directeur général de l’OSCS.
nam/tm
« La sécurité, même si elle n’est pas totale, il y a moins d’insécurité aujourd’hui qu’en 2011 », a déclaré M. Coulibaly, vendredi à l’occasion d’un atelier régional d’évaluation de la situation de solidarité et de la cohésion sociale dans la zone centre.
Selon le directeur de l'OSCS, les indicateurs montrent que les activités dans les stations d’essence et la circulation des automobiles qui s’arrêtaient à 18h en 2011, se déroulent désormais normalement 24h/24.
L’atelier régional de deux jours initié par l’OSCS avec l’appui des acteurs locaux a été l’occasion pour l’Observatoire de demander aux participants d’être des moniteurs d’alerte précoce, d'échanger avec la société civile sur l’état de la solidarité dans leur zone, de faire un sondage d’opinion et de connaitre leur perception de la solidarité et la cohésion sociale.
« Il s’agissait également de les amener à s’engager à remonter l’information au niveau de l’observatoire, en vue d’une meilleure prise de décision. Ce, pour prévenir les conflits et permettre à la Côte d’Ivoire de demeurer dans la paix », a souligné le directeur général de l’OSCS.
nam/tm
