San Pedro – Le président de l’Assemblée nationale, Soro Guillaume, a expliqué mardi à San Pedro aux populations et aux militants du Rassemblement des houphouéstistes pour la démocratie et la paix (RHDP), qu’il n’a jamais cherché à préserver sa position de "dauphin constitutionnel" à travers la nouvelle Constitution.
Soro Guillaume a demandé à ceux de ses partisans qui seraient frustrés, parce que la nouvelle constitution ne fait plus de lui le dauphin constitutionnel, d’aller voter massivement cette Constitution, car a-t-il précisé « une Constitution est d’abord générale et impersonnelle (…) et je suis moi-même content de ne pas être dauphin constitutionnel».
« Pendant cinq ans j’ai été dauphin constitutionnel, ça ne m’a rien apporté, bien au contraire ça m’a attiré la jalousie, les calomnies, les intrigues », a déclaré Soro Guillaume, notant que « c’est une position difficile d’être dauphin constitutionnel », parce que l’on est suspecté De vouloir la place du président de la République toutes les fois où celui-ci tend vers une situation d’incapacité, même temporaire, d’exercer ses fonctions. « C’est pas une position tenable », a insisté le président de l’Assemblée nationale.
Il a salué l’avènement du poste de vice-président qui, selon lui, vient renforcer la stabilité, la paix et la démocratie dans la République, comme voulues par le président Alassane Ouattara.
jmk/ask
Soro Guillaume a demandé à ceux de ses partisans qui seraient frustrés, parce que la nouvelle constitution ne fait plus de lui le dauphin constitutionnel, d’aller voter massivement cette Constitution, car a-t-il précisé « une Constitution est d’abord générale et impersonnelle (…) et je suis moi-même content de ne pas être dauphin constitutionnel».
« Pendant cinq ans j’ai été dauphin constitutionnel, ça ne m’a rien apporté, bien au contraire ça m’a attiré la jalousie, les calomnies, les intrigues », a déclaré Soro Guillaume, notant que « c’est une position difficile d’être dauphin constitutionnel », parce que l’on est suspecté De vouloir la place du président de la République toutes les fois où celui-ci tend vers une situation d’incapacité, même temporaire, d’exercer ses fonctions. « C’est pas une position tenable », a insisté le président de l’Assemblée nationale.
Il a salué l’avènement du poste de vice-président qui, selon lui, vient renforcer la stabilité, la paix et la démocratie dans la République, comme voulues par le président Alassane Ouattara.
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