L’organisation non gouvernementale, Amnesty international, défenseur des droits de l'homme, a demandé vendredi à l'Etat ivoirien de "mettre un terme aux arrestations arbitraires et détentions mobiles des membres de l’opposition", dans une note.
"Les autorités de Côte d'Ivoire doivent cesser de s'en prendre aux membres de l'opposition en réduisant leurs droits à la liberté d'expression et de réunion pacifique", a déclaré l'ONGI au dernier jour de la campagne référendaire, prévue le 30 octobre.
Le 20 octobre, à l'occasion d'une marche de protestation, "au moins 50 membres de l'opposition ont été arrêtés et détenus pendant plusieurs heures dans des véhicules de police en circulation, puis relâchés", selon Boni Claverie, porte-parole du front du refus.
Qualifiant ce traitement d’ "inhumain", Amnesty international a invité les autorités ivoiriennes à "mettre un terme à cette pratique de détention arbitraire", et les a appelé à veiller à ce que les membres de l'opposition puissent exprimer librement leurs opinions et leur "droit de liberté".
"Toute personne, y compris l’opposition a le droit d’exprimer pacifiquement son opinion et de voir sa dignité respectée (…)", a rappelé dans la note, le chercheur Afrique de l'Ouest à Amnesty international, Gaetan Mootoo, ajoutant que "les agents des forces de sécurité, responsables de ces actes" seraient "identifiés et amenés à rendre compte".
CAS
"Les autorités de Côte d'Ivoire doivent cesser de s'en prendre aux membres de l'opposition en réduisant leurs droits à la liberté d'expression et de réunion pacifique", a déclaré l'ONGI au dernier jour de la campagne référendaire, prévue le 30 octobre.
Le 20 octobre, à l'occasion d'une marche de protestation, "au moins 50 membres de l'opposition ont été arrêtés et détenus pendant plusieurs heures dans des véhicules de police en circulation, puis relâchés", selon Boni Claverie, porte-parole du front du refus.
Qualifiant ce traitement d’ "inhumain", Amnesty international a invité les autorités ivoiriennes à "mettre un terme à cette pratique de détention arbitraire", et les a appelé à veiller à ce que les membres de l'opposition puissent exprimer librement leurs opinions et leur "droit de liberté".
"Toute personne, y compris l’opposition a le droit d’exprimer pacifiquement son opinion et de voir sa dignité respectée (…)", a rappelé dans la note, le chercheur Afrique de l'Ouest à Amnesty international, Gaetan Mootoo, ajoutant que "les agents des forces de sécurité, responsables de ces actes" seraient "identifiés et amenés à rendre compte".
CAS