Abidjan - Acturoutes a organisé la 8ème édition du "Club mobilité », vendredi, à l’hôtel Ibis Plateau avec pour thème « Quelle place pour les trottoirs dans l’aménagement des routes en Côte d’Ivoire ? ».
Plusieurs panélistes dont l’économiste des transports à l’AGEROUTE, Karamoko Ouattara, le sous-directeur chargé de la formation à l’OSER, Ta Bi Tra, le vice-président de l’Ordre national des urbanistes de Côte d’Ivoire Etienne Guei et Dr Komenan Narcice , économiste, ont épilogué sur le thème proposé.
Expliquant que le trottoir est la partie de la route réservée aux piétons, Karamoko Ouattara a reconnu que ces espaces toujours prévus par les urbanistes ne sont souvent pas construits pour « insuffisance de budget » ou par « insuffisance d’espace. » Cependant, ont fait remarquer des panélistes, ces trottoirs même existants sont occupés de manière anarchique par les populations mettant ainsi en danger le piéton obligé de partager la route avec les automobilistes avec toutes les conséquences imaginables.
Plusieurs contributions ont montré la problématique du trottoir dans l’aménagement de la route urbaine en Côte d’Ivoire, proposant qu’en plus de la sensibilisation l’on passe à la « répression ». Des participants à ce panel ont également noté le coût « très élevé » des dédommagements souvent dus à des occupations anarchiques dans l’aménagement de la route urbaine. Ces occupations anarchiques, selon Karamoko Ouattara, contribuent à la dégradation de la chaussée et à l’anticipation des réparations.
Ce 8ème numéro du « Club mobilité », une tribune d’échanges initiée par Acturoutes pour débattre des grands sujets qui impactent la mobilité, a connu la participation de plusieurs personnalités du monde de l’urbanisme, d’économistes, de juristes et de journalistes.
akn/cmas
Plusieurs panélistes dont l’économiste des transports à l’AGEROUTE, Karamoko Ouattara, le sous-directeur chargé de la formation à l’OSER, Ta Bi Tra, le vice-président de l’Ordre national des urbanistes de Côte d’Ivoire Etienne Guei et Dr Komenan Narcice , économiste, ont épilogué sur le thème proposé.
Expliquant que le trottoir est la partie de la route réservée aux piétons, Karamoko Ouattara a reconnu que ces espaces toujours prévus par les urbanistes ne sont souvent pas construits pour « insuffisance de budget » ou par « insuffisance d’espace. » Cependant, ont fait remarquer des panélistes, ces trottoirs même existants sont occupés de manière anarchique par les populations mettant ainsi en danger le piéton obligé de partager la route avec les automobilistes avec toutes les conséquences imaginables.
Plusieurs contributions ont montré la problématique du trottoir dans l’aménagement de la route urbaine en Côte d’Ivoire, proposant qu’en plus de la sensibilisation l’on passe à la « répression ». Des participants à ce panel ont également noté le coût « très élevé » des dédommagements souvent dus à des occupations anarchiques dans l’aménagement de la route urbaine. Ces occupations anarchiques, selon Karamoko Ouattara, contribuent à la dégradation de la chaussée et à l’anticipation des réparations.
Ce 8ème numéro du « Club mobilité », une tribune d’échanges initiée par Acturoutes pour débattre des grands sujets qui impactent la mobilité, a connu la participation de plusieurs personnalités du monde de l’urbanisme, d’économistes, de juristes et de journalistes.
akn/cmas
