Bouaké (Côte d'Ivoire) - Un projet de création des réserves naturelles volontaires a été lancé par le gouvernement ivoirien, en vue d’impliquer directement les collectivités et les personnes de droit privé dans la protection et la conservation de la diversité biologique du pays.
L’information a été donnée, vendredi, à Bouaké (379 km au Nord d’Abidjan) par le sous-Directeur du suivi évaluation à la direction de l’écologie et de la protection de la nature (DEPN), Capitaine Michel Amon N’Kponé.Il s’exprimait à l’occasion d’un atelier de sensibilisation et d’information sur les aires protégées en Côte d’Ivoire.
‘’Nous sommes à Bouaké aujourd’hui dans le cadre d’une démarche qui s’inscrit dans une dynamique du gouvernement à l’effet de faire la promotion des réserves naturelles volontaires en Côte d’Ivoire’’ a fait savoir M. N’Kponé, ajoutant que l’objectif de la tournée de sensibilisation est de contribuer à l’agrandissement du réseau des aires protégées en Côte d’Ivoire, qui n’occupent que 6,5% du territoire national pour un objectif d’au moins 12%.
Selon un document produit par la DEPN, la réserve naturelle volontaire est un projet innovant qui désigne une réserve naturelle partielle créée à l’initiative d’une collectivité territoriale, d’un établissement public ou d’une personne de droit privé, sur un terrain lui appartenant et qui sera destiné à la préservation d’un écosystème ou d’un paysage remarquable.
En d’autres termes, les réserves naturelles volontaires sont des domaines privés qui présentent un intérêt particulier sur les plans scientifique, écologique et touristique.
Toujours selon ce texte, ces réserves privées auront pour rôle d’une part de contribuer à la conservation de la diversité biologique du pays, et de lutter contre la dégradation de l’environnement naturel (désertification, déforestation, dégradation des sols…etc.) et d’autre part elles contribueront à l’amélioration du microclimat, à la perpétuation des mythes culturels des localités par la protection de certaines espèces et la mise à disposition de certains produits forestiers.
En outre, conclut le document, en terme d’avantages, un site classé en réserve naturelle volontaire peut éventuellement permettre le développement d’une localité grâce à l’écotourisme et le promoteur pourrait également profiter de certaines subventions pour ‘’services rendus à l’environnement’’.
CK/ls
L’information a été donnée, vendredi, à Bouaké (379 km au Nord d’Abidjan) par le sous-Directeur du suivi évaluation à la direction de l’écologie et de la protection de la nature (DEPN), Capitaine Michel Amon N’Kponé.Il s’exprimait à l’occasion d’un atelier de sensibilisation et d’information sur les aires protégées en Côte d’Ivoire.
‘’Nous sommes à Bouaké aujourd’hui dans le cadre d’une démarche qui s’inscrit dans une dynamique du gouvernement à l’effet de faire la promotion des réserves naturelles volontaires en Côte d’Ivoire’’ a fait savoir M. N’Kponé, ajoutant que l’objectif de la tournée de sensibilisation est de contribuer à l’agrandissement du réseau des aires protégées en Côte d’Ivoire, qui n’occupent que 6,5% du territoire national pour un objectif d’au moins 12%.
Selon un document produit par la DEPN, la réserve naturelle volontaire est un projet innovant qui désigne une réserve naturelle partielle créée à l’initiative d’une collectivité territoriale, d’un établissement public ou d’une personne de droit privé, sur un terrain lui appartenant et qui sera destiné à la préservation d’un écosystème ou d’un paysage remarquable.
En d’autres termes, les réserves naturelles volontaires sont des domaines privés qui présentent un intérêt particulier sur les plans scientifique, écologique et touristique.
Toujours selon ce texte, ces réserves privées auront pour rôle d’une part de contribuer à la conservation de la diversité biologique du pays, et de lutter contre la dégradation de l’environnement naturel (désertification, déforestation, dégradation des sols…etc.) et d’autre part elles contribueront à l’amélioration du microclimat, à la perpétuation des mythes culturels des localités par la protection de certaines espèces et la mise à disposition de certains produits forestiers.
En outre, conclut le document, en terme d’avantages, un site classé en réserve naturelle volontaire peut éventuellement permettre le développement d’une localité grâce à l’écotourisme et le promoteur pourrait également profiter de certaines subventions pour ‘’services rendus à l’environnement’’.
CK/ls
