Dans le cadre des activités du projet transfrontalier financé par le FEM et la FAO entre le Ghana et la Côte d'Ivoire, une réunion du Comité directeur du projet (CPS) a été organisée dans la région occidentale du Ghana. Le but de la réunion était de mettre à jour les partenaires de projet des deux pays sur les progrès des travaux et d'explorer les possibilités d'une plus grande collaboration dans la protection conjointe des éléphants dans le corridor Bia-Diambarakro.
La réunion a rassemblé 13 participants de 5 institutions partenaires clés du Ghana et de la Côte d'Ivoire. Institutions représentées incluses; Société de Développement des Forêts (SODEFOR) de la Côte d'Ivoire, Division de la Faune-Ghana, Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture (FAO) du Ghana et de la Côte d'Ivoire, Ivoire, Conservation Alliance Ghana.
Dans leur déclaration liminaire, les points focaux du FEM et les représentants de la FAO se sont déclarés satisfaits de l'amélioration significative de la santé écologique du couloir et de l'engagement des communautés marginales envers l'utilisation durable des ressources naturelles. En particulier, le représentant de la FAO, Atse Yapi, a indiqué que «si le Ghana et la Côte d'Ivoire pouvaient collaborer au projet comme nous le faisons actuellement, cela signifie que nous sommes en avance sur le continent en termes de conservation de la biodiversité»
Le représentant de la SODEFOR (l'institution publique responsable des ressources forestières en Côte d'Ivoire) a exprimé l'engagement de son institution à entreprendre une restauration à grande échelle de la forêt classée de Diambarakro afin de consolider les efforts déployés sur le côté ghanéen du couloir. Cette activité est d'assurer la sécurité des éléphants qui se déplacent du Ghana à la Côte d'Ivoire et vice versa. Le Dr Moses Sam, directeur régional de la Division de la faune de la région du Centre et de l'Ouest, qui représentait le directeur exécutif de la Division de la faune, a exprimé sa gratitude au sujet du soutien apporté aux quatre CREMA du côté ghanéen du couloir. Il a réaffirmé l'engagement de la Commission des forêts, en particulier, la Division de la faune à protéger les éléphants dans la zone de conservation Bia du Ghana.
Dans une interview, Mme Abigail Frimpong, coordonnatrice internationale du projet, s'est félicitée de l'engagement des deux pays dans l'élaboration d'un plan de gestion commun pour le corridor d'éléphants Ghana-Côte d'Ivoire. Elle a appelé à l'intégration du plan de gestion du corridor dans le plan de développement à moyen terme du district et du plan de développement du gouvernement local au Ghana et en Côte d'Ivoire, respectivement, pour faciliter la mise en œuvre. L'expert international sur la gestion des aires protégées a convenu que le plan de gestion est une nouveauté et est conforme aux meilleures pratiques internationales en matière de conservation. Lors de la séance de clôture, le Directeur national de Conservation Alliance, Dr. Yaw Osei-Owusu, a appelé les deux pays à soutenir davantage le projet visant à établir un couloir de conservation transfrontalier viable et durable qui reliera les réserves forestières et les aires protégées dans et Autour de Bia et Diambarakro. Il a également lancé un appel en faveur du soutien des moyens de subsistance durables des communautés locales vivant dans la région.
Écrit par:
Henrietta Asiedu
Conservation Alliance International
Email: hasiedu@conservealliance.org
La réunion a rassemblé 13 participants de 5 institutions partenaires clés du Ghana et de la Côte d'Ivoire. Institutions représentées incluses; Société de Développement des Forêts (SODEFOR) de la Côte d'Ivoire, Division de la Faune-Ghana, Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture (FAO) du Ghana et de la Côte d'Ivoire, Ivoire, Conservation Alliance Ghana.
Dans leur déclaration liminaire, les points focaux du FEM et les représentants de la FAO se sont déclarés satisfaits de l'amélioration significative de la santé écologique du couloir et de l'engagement des communautés marginales envers l'utilisation durable des ressources naturelles. En particulier, le représentant de la FAO, Atse Yapi, a indiqué que «si le Ghana et la Côte d'Ivoire pouvaient collaborer au projet comme nous le faisons actuellement, cela signifie que nous sommes en avance sur le continent en termes de conservation de la biodiversité»
Le représentant de la SODEFOR (l'institution publique responsable des ressources forestières en Côte d'Ivoire) a exprimé l'engagement de son institution à entreprendre une restauration à grande échelle de la forêt classée de Diambarakro afin de consolider les efforts déployés sur le côté ghanéen du couloir. Cette activité est d'assurer la sécurité des éléphants qui se déplacent du Ghana à la Côte d'Ivoire et vice versa. Le Dr Moses Sam, directeur régional de la Division de la faune de la région du Centre et de l'Ouest, qui représentait le directeur exécutif de la Division de la faune, a exprimé sa gratitude au sujet du soutien apporté aux quatre CREMA du côté ghanéen du couloir. Il a réaffirmé l'engagement de la Commission des forêts, en particulier, la Division de la faune à protéger les éléphants dans la zone de conservation Bia du Ghana.
Dans une interview, Mme Abigail Frimpong, coordonnatrice internationale du projet, s'est félicitée de l'engagement des deux pays dans l'élaboration d'un plan de gestion commun pour le corridor d'éléphants Ghana-Côte d'Ivoire. Elle a appelé à l'intégration du plan de gestion du corridor dans le plan de développement à moyen terme du district et du plan de développement du gouvernement local au Ghana et en Côte d'Ivoire, respectivement, pour faciliter la mise en œuvre. L'expert international sur la gestion des aires protégées a convenu que le plan de gestion est une nouveauté et est conforme aux meilleures pratiques internationales en matière de conservation. Lors de la séance de clôture, le Directeur national de Conservation Alliance, Dr. Yaw Osei-Owusu, a appelé les deux pays à soutenir davantage le projet visant à établir un couloir de conservation transfrontalier viable et durable qui reliera les réserves forestières et les aires protégées dans et Autour de Bia et Diambarakro. Il a également lancé un appel en faveur du soutien des moyens de subsistance durables des communautés locales vivant dans la région.
Écrit par:
Henrietta Asiedu
Conservation Alliance International
Email: hasiedu@conservealliance.org
