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Société Publié le jeudi 19 janvier 2017 | AIP

« Le maintien de l’enfant à l’école » au cœur de la campagne d’une sensibilisation nationale

© AIP Par DA
CNDHCI: Cérémonie de lancement de la campagne nationale de sensibilisation sur le droit à l’éducation en Côte d`Ivoire
Mercredi 18 janvier 2017. Abidjan. La Commission nationale des droits de l’homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI) a lancé, à Koumassi, une campagne nationale de sensibilisation sur le thème « Le maintien de l’enfant à l’école » en présence du maire de la commune, Raymond N’dohi et de la présidente de la commission, Namizata Sangaré.
Abidjan - La Commission nationale des droits de l’homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI) a lancé, mercredi à Koumassi, une campagne nationale de sensibilisation sur le thème « Le maintien de l’enfant à l’école » en présence du maire de la commune, Raymond N’dohi.

Cette campagne, d’une durée de deux mois (janvier-février), se veut le lieu de sensibiliser les populations nationales sur la nécessité de la scolarisation des enfants jusqu’à l’âge de 16 ans, consacrant de fait le caractère inclusif de l’école, dans le cadre de la politique de l’école obligatoire entreprise par le gouvernement, explique-t-on.

"Cette initiative vise tout d’abord l’instruction de l’enfant à l’école et de l’y maintenir, puis de la question des grossesses en milieu scolaire et de réduire le taux d’analphabétisme dans les zones à forte présence d’enfants ne sachant ni lire ni écrire", a expliqué la présidente de la (CNDHCI), Namizata Sangaré.

Quant au conseiller technique de la ministre de l’Education nationale et de l’Enseignement technique, Soro N’golo, il s’est réjoui de l’initiative de la commission qui est celle de soutenir le gouvernement dans ses efforts et surtout le ministère en charge de l’éducation, pour sa proximité avec les populations qui, de plus en plus, ont besoin d’information et de sensibilisation.

Juriste au ministère de l’Education nationale, Sidibé a invité les populations à la déclaration des naissances à l’état-civil pour une base de données fiable et une traçabilité, afin de permettre au gouvernement d’avoir une meilleure gestion de la politique inclusive. Et des peines encourues par les contrevenants qui partent de trois à six d’emprisonnement et jusqu’à 500.000 francs d’amende, a-t-il rappelé.

Une séance de traduction des différents messages dans plusieurs langues locales, notamment le malinké et le baoulé, a été faite pour une communication plus vaste de l’information.

gf/kp
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