San Pedro – La municipalité de Grand-Béréby, a décidé en sa session ordinaire de jeudi de poursuivre en justice le chef de la tribu Gbôwé qui exige des autorités municipales et de certains opérateurs économiques la purge des droits coutumiers de certains terrains.
Selon le maire, Gosso Yabayou Alphonse, la tribu Gbôwé, composée de deux villages, parties intégrantes de la commune de Grand-Béréby, exige depuis des mois, à travers son chef de tribu, que la mairie purge au profit de cette tribu les droits coutumiers concernant tous les terrains lotis par sa structure jusqu’en 2013.
Lundi et mardi, des jeunes et des femmes se réclamant de cette tribu ont brûlés des pneus sur des voies, érigé des barricades dans la commune et sur certains axes routiers et devant la mairie, des véhicules de la mairie et de personnes privées ont été vandalisés.
Au regard de la gravité des dernières manifestations et de la persistance du problème, les conseillers municipaux ont autorisé le maire à poursuivre en justice le chef de tribu, parce que selon la municipalité, « il n’a pas respecté la médiation du préfet de région, il n’est disposé au dialogue, alors que ses revendications par le passé ont été satisfaites ».
jmk/kam
Selon le maire, Gosso Yabayou Alphonse, la tribu Gbôwé, composée de deux villages, parties intégrantes de la commune de Grand-Béréby, exige depuis des mois, à travers son chef de tribu, que la mairie purge au profit de cette tribu les droits coutumiers concernant tous les terrains lotis par sa structure jusqu’en 2013.
Lundi et mardi, des jeunes et des femmes se réclamant de cette tribu ont brûlés des pneus sur des voies, érigé des barricades dans la commune et sur certains axes routiers et devant la mairie, des véhicules de la mairie et de personnes privées ont été vandalisés.
Au regard de la gravité des dernières manifestations et de la persistance du problème, les conseillers municipaux ont autorisé le maire à poursuivre en justice le chef de tribu, parce que selon la municipalité, « il n’a pas respecté la médiation du préfet de région, il n’est disposé au dialogue, alors que ses revendications par le passé ont été satisfaites ».
jmk/kam