Dimbokro – Pour des dépenses prévues à hauteur de 641,550 millions de FCFA pour le fonctionnement des services publics en 2016 dans le département de Dimbokro, les engagements ont cumulé à 465,189 millions de FCFA, soit 72,51%, a dévoilé le directeur régional du budget, Tahou Euloge Macaire.
M. Tahou s’exprimait lundi à la préfecture de Dimbokro, lors d’une rencontre relative à la mise en place du budget 2017 présidée par le préfet de région du N'zi, Dr N’guessan Obouo Jacques. Il a précisé des mandatements de 462,189 millions de FCFA et une prise en charge comptable du même montant, expliquant que le gap de trois millions de FCFA enregistré entre les engagements et les mandatements est dû à la non réalisation des travaux d’une direction régionale eu égard à l’indisponibilité du prestataire.
Le directeur régional du budget a souligné que le budget 2016 a été bien exécuté dans le département de Dimbokro conformément aux règles de la comptabilité publique et au respect de la régulation budgétaire. Et ce, en dépit des convulsions nées notamment des procédures concurrentielles simplifiées ainsi que des rallonges budgétaires intervenues en cours de gestion dans certains services. I
Il a exhorté les administrateurs de crédits à rester engagés dans le sens du principe de la bonne gouvernance et de lisibilité de la direction générale du budget et des finances.
ik/akn/cmas
M. Tahou s’exprimait lundi à la préfecture de Dimbokro, lors d’une rencontre relative à la mise en place du budget 2017 présidée par le préfet de région du N'zi, Dr N’guessan Obouo Jacques. Il a précisé des mandatements de 462,189 millions de FCFA et une prise en charge comptable du même montant, expliquant que le gap de trois millions de FCFA enregistré entre les engagements et les mandatements est dû à la non réalisation des travaux d’une direction régionale eu égard à l’indisponibilité du prestataire.
Le directeur régional du budget a souligné que le budget 2016 a été bien exécuté dans le département de Dimbokro conformément aux règles de la comptabilité publique et au respect de la régulation budgétaire. Et ce, en dépit des convulsions nées notamment des procédures concurrentielles simplifiées ainsi que des rallonges budgétaires intervenues en cours de gestion dans certains services. I
Il a exhorté les administrateurs de crédits à rester engagés dans le sens du principe de la bonne gouvernance et de lisibilité de la direction générale du budget et des finances.
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