Coulibaly Vamara, Directeur de publication de Soir Info et de l’Inter; Yacouba Gbané, Directeur de publication de Le Temps et LG Infos; Bamba Franck Mamadou, Directeur de publication de Notre Voie; Hamadou Ziao, Rédacteur en chef de l’Inter; Ferdinand Bailly, Journaliste à Le Temps et Jean Bédel Gnago, correspondant de Soir Info à Aboisso ont été libérés ce mardi mais sont toujours inculpés pour « atteintes à la sureté de l’Etat, à l’incitation des militaires à
l’insoumission et à la rébellion ».
«Je voudrais vraiment dire merci, un grand merci à toutes les organisations issues des médias pour cette mobilisation. Je trouverai d’ailleurs l’occasion de leur dire merci. C’est vrai que nous avons été inculpés, mais il n’y a pas eu de mandat de dépôt. Nous allons poursuivre le combat avec ces organisations de sorte que toutes les charges retenues contre nous soient totalement abandonnées», a indiqué Coulibaly Vamara au nom de tous les prévenus.
C’est avec joie qu’ils ont été accueillis par leurs confrères à leur sortie du palais de justice d’Abidjan-Plateau, après plus de 5 heures d’audition par le juge d’instruction. Plusieurs organisations et associations professionnelles du secteur de la presse nationale et internationale ont condamné lundi leur arrestation et exigé leur libération immédiate.
Les mis en cause avaient été convoqués le 12 février 2017 par la brigade de recherche puis arrêtés et écroués à la gendarmerie du camp d’Agban, d’Abidjan au motif de «divulgations de fausses nouvelles» dans le cadre de la mutinerie des Forces spéciales, déclenchée le mardi 7 février, à Adiaké.
Notons que les Forces spéciales sont une unité d’élite de l’armée en charge de la sécurité rapprochée du président ivoirien, Alassane Ouattara.
D.Tagro
l’insoumission et à la rébellion ».
«Je voudrais vraiment dire merci, un grand merci à toutes les organisations issues des médias pour cette mobilisation. Je trouverai d’ailleurs l’occasion de leur dire merci. C’est vrai que nous avons été inculpés, mais il n’y a pas eu de mandat de dépôt. Nous allons poursuivre le combat avec ces organisations de sorte que toutes les charges retenues contre nous soient totalement abandonnées», a indiqué Coulibaly Vamara au nom de tous les prévenus.
C’est avec joie qu’ils ont été accueillis par leurs confrères à leur sortie du palais de justice d’Abidjan-Plateau, après plus de 5 heures d’audition par le juge d’instruction. Plusieurs organisations et associations professionnelles du secteur de la presse nationale et internationale ont condamné lundi leur arrestation et exigé leur libération immédiate.
Les mis en cause avaient été convoqués le 12 février 2017 par la brigade de recherche puis arrêtés et écroués à la gendarmerie du camp d’Agban, d’Abidjan au motif de «divulgations de fausses nouvelles» dans le cadre de la mutinerie des Forces spéciales, déclenchée le mardi 7 février, à Adiaké.
Notons que les Forces spéciales sont une unité d’élite de l’armée en charge de la sécurité rapprochée du président ivoirien, Alassane Ouattara.
D.Tagro