Kong - Les agriculteurs et éleveurs du département de Kong sont inquiets de la sécheresse en cours depuis novembre 2016, occasionnant des destructions de plusieurs hectares de cultures vivrières et de rente ainsi que la mort d’un nombre important de têtes de bétail.
« J’ai perdu plus de cinq hectares d'anacarde sur les huit que je possède. Et cela, malgré le pare-feu installé autour de ma plantation pour empêcher le feu d'y entrer », a déploré Victor Hien, un agriculteur de Bougou, à 46 km de Kong.
Ouattara Moussa, un autre paysan, dit avoir évité le pire dans la nuit de mardi à mercredi en empêchant l'entrée du feu dans sa plantation. « Les feux sont imprévisibles. Ils peuvent ravager ton champ à tout moment », a-t-il souligné.
Pour les éleveurs, la saison sèche est la période pendant laquelle d'énormes destructions de cultures par leur bétail sont enregistrées, nécessitant d'importantes dépenses de dédommagement des victimes. « Nous avons vraiment peur. C'est pourquoi, nous devons être plus vigilants, afin d'empêcher nos bêtes de détruire les récoltes", a déclaré un des leurs.
kkiv/bbl/kp
« J’ai perdu plus de cinq hectares d'anacarde sur les huit que je possède. Et cela, malgré le pare-feu installé autour de ma plantation pour empêcher le feu d'y entrer », a déploré Victor Hien, un agriculteur de Bougou, à 46 km de Kong.
Ouattara Moussa, un autre paysan, dit avoir évité le pire dans la nuit de mardi à mercredi en empêchant l'entrée du feu dans sa plantation. « Les feux sont imprévisibles. Ils peuvent ravager ton champ à tout moment », a-t-il souligné.
Pour les éleveurs, la saison sèche est la période pendant laquelle d'énormes destructions de cultures par leur bétail sont enregistrées, nécessitant d'importantes dépenses de dédommagement des victimes. « Nous avons vraiment peur. C'est pourquoi, nous devons être plus vigilants, afin d'empêcher nos bêtes de détruire les récoltes", a déclaré un des leurs.
kkiv/bbl/kp
