Béoumi – Une délégation des députés Paul Koffi Koffi, Charles Gnahoré, Bêma Fofana et Fofana Nossamba Mondeny a entamé mardi une médiation pour ramener le calme dans les établissements publics et privés de Béoumi, paralysés depuis lundi par un mouvement d’humeur d’élèves se réclamant de la Fédération estudiantine et scolaire (FESCI).
L’élève Moussa Meimon Louis Achille avait été interpellé le 16 février aux environs de 8H30 par le proviseur du lycée, Mah Abou, au moment où il tentait, avec un groupe d'élèves, d’interrompre les cours par des coups de sifflet. Après saisine du préfet et du directeur régional de l’éducation et en attendant sa sanction, Meimon Louis avait été interdit d’accès à sa salle de classe.
Lundi matin, ses camarades venus des autres établissements ont assailli le lycée, réclamant la levée de toute sanction à son encontre. La présence de la police au lycée et la présentation physique de l'élève Moussa Meimon Louis Achille ont fini par convaincre les nombreux élèves que ce dernier n'était pas en prison.
En représailles, les enseignants ont exprimé leur ras-le-bol en répliquant par un arrêt du travail jusqu'à mercredi. Le statu quo et l’arrêt des cours s’étant poursuivis ce mardi, la délégation des députés est entrée en scène pour ramener le calme dans les écoles de la ville.
(AIP)
nyl/aaa/cmas
L’élève Moussa Meimon Louis Achille avait été interpellé le 16 février aux environs de 8H30 par le proviseur du lycée, Mah Abou, au moment où il tentait, avec un groupe d'élèves, d’interrompre les cours par des coups de sifflet. Après saisine du préfet et du directeur régional de l’éducation et en attendant sa sanction, Meimon Louis avait été interdit d’accès à sa salle de classe.
Lundi matin, ses camarades venus des autres établissements ont assailli le lycée, réclamant la levée de toute sanction à son encontre. La présence de la police au lycée et la présentation physique de l'élève Moussa Meimon Louis Achille ont fini par convaincre les nombreux élèves que ce dernier n'était pas en prison.
En représailles, les enseignants ont exprimé leur ras-le-bol en répliquant par un arrêt du travail jusqu'à mercredi. Le statu quo et l’arrêt des cours s’étant poursuivis ce mardi, la délégation des députés est entrée en scène pour ramener le calme dans les écoles de la ville.
(AIP)
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