Dimbokro - Pour permettre de répondre effacement aux nombreuses sollicitations en matière d’actes administratifs, notamment la délivrance des extraits de naissance ou de jugements supplétifs, des usagers ont appelé les cadres et les bonnes volontés à doter le service administratif de la sous-préfecture de Dimbokro d’un logiciel applicatif.
Selon les statistiques, entre 500 et 600 demandes d’extraits de naissance sont traités par semaine. Ce traitement est fait à l’aide de vieilles machines mécanographiques. Ces machines à écrire à ruban datent des années 60, a-t-on constaté, lors d’une visite, jeudi, des locaux du service public à Dimbokro.
«Nous demandons aux cadres et bonnes volontés de Dimbokro de doter la sous-préfecture d’un logiciel pour que les actes de naissance soient délivrés rapidement. Cela va soulager les parents. Moi j'ai déposé ma demande, il y a une semaine pour mon extrait », a plaidé un requérant, N’guessan Affoué Céline, à qui un agent demandait de revenir dans trois semaines pour le retrait de son papier.
Le chef du service administratif a affirmé qu’en raison de cette situation, aucune demande de délivrance d’acte de naissance ne peut être satisfaite en moins de trois semaines. « Si nous avons un logiciel, cela va réduire le temps de délivrance. Actuellement même les samedis et dimanches, nous venons travailler pour satisfaire les usagers. Nous avons des ordinateurs ici, mais c’est le logiciel qui manque », a-t-il précisé.
ik/kp
Selon les statistiques, entre 500 et 600 demandes d’extraits de naissance sont traités par semaine. Ce traitement est fait à l’aide de vieilles machines mécanographiques. Ces machines à écrire à ruban datent des années 60, a-t-on constaté, lors d’une visite, jeudi, des locaux du service public à Dimbokro.
«Nous demandons aux cadres et bonnes volontés de Dimbokro de doter la sous-préfecture d’un logiciel pour que les actes de naissance soient délivrés rapidement. Cela va soulager les parents. Moi j'ai déposé ma demande, il y a une semaine pour mon extrait », a plaidé un requérant, N’guessan Affoué Céline, à qui un agent demandait de revenir dans trois semaines pour le retrait de son papier.
Le chef du service administratif a affirmé qu’en raison de cette situation, aucune demande de délivrance d’acte de naissance ne peut être satisfaite en moins de trois semaines. « Si nous avons un logiciel, cela va réduire le temps de délivrance. Actuellement même les samedis et dimanches, nous venons travailler pour satisfaire les usagers. Nous avons des ordinateurs ici, mais c’est le logiciel qui manque », a-t-il précisé.
ik/kp
