Ce mardi 07 mars 2017, s’est tenue une rencontre d’affaires entre chefs d’entreprises Ivoiriens et Sud-Africains. Organisée par le cabinet Deloitte Afrique francophone en collaboration avec le Patronat Ivoirien, elle a eu lieu à la Maison de l’Entreprise d’Abidjan-Plateau.
Le directeur exécutif de la Confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire(CGECI), Dr. Vaflahi Méité, tout en présentant l’instance patronale, a souhaité des échanges fructueux à la vingtaine d’hommes d’affaires sud-africains présents en Côte d’Ivoire.
Selon lui, pour qu’il y ait un développement inclusif, il faut prendre en compte les couches les plus vulnérables, à savoir les jeunes et les femmes. C’est pourquoi la question de l’emploi des jeunes et l’autonomisation de la femme, reste essentielle pour son institution. C’est tout le sens de la mise en place des Commissions Entrepreneuriat féminin et Entrepreneuriat jeunes avec l’incubateur. Aussi, a-t-il noté le renforcement des capacités des entreprises. L’un des objectifs principaux, a-t-il ajouté, est de briser les frontières au niveau de la langue afin que les entreprises Ivoiriennes arrivent à se faire valoir à l’échelle internationale.
Quant à Mlle Aude Kanga, responsable des adhérents à la CGECI, elle a fait une présentation des opportunités d’affaires par secteurs d’activités avec une prospection dénommée « Côte d’Ivoire 2040 ». Ainsi dans le domaine Agricole, la noix de Cajou et la Cola présentent un fort taux de croissance. Le palmier, le cacao et le coton restent stables. Par ailleurs, elle a déploré que le secteur de la santé ne soit pas encore bien exploité. Une aubaine pour les investisseurs étrangers qui veulent s’y intéresser. Elle a invité les chefs d’entreprises Sud-Africaines à s’intéresser au secteur afin d’y apporter leur expertise en vue de l’amélioration des performances de la Côte d’Ivoire en la matière et rendre ce secteur plus compétitif.
Dans le secteur des hydrocarbures, a indiqué Aude Kanga, l’objectif de la Côte d’Ivoire est l’autosuffisance en ressources gazières en atteignant 150.000 barils par jour et capturer le marché de stockage et de transmission de gaz de la sous-région. Il s’agit également de positionner la ville de San-Pedro en termes de perspectives comme le pôle minéral régional.Elle a également présenté les facilitations faites par l’Etat de Côte d’Ivoire dans sa stratégie pour l’amélioration de l’environnement des affaires.
Du côté des investisseurs du pays de Mandela, ils sont favorables à nouer un partenariat gagnant-gagnant avec les entreprises Ivoiriennes. Pour rassurer, Dr Martyn Davies, directeur général de Marchés émergents et Afrique, a indiqué que quelles que soient les crises que l’Afrique du Sud traverse, elle a toujours la caractéristique d’un marché ouvert. Et ses entreprises ont encore la possibilité de se vendre à l’international.
Ce sont les rencontres B to B qui ont mis fin à ce forum économique.
Le directeur exécutif de la Confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire(CGECI), Dr. Vaflahi Méité, tout en présentant l’instance patronale, a souhaité des échanges fructueux à la vingtaine d’hommes d’affaires sud-africains présents en Côte d’Ivoire.
Selon lui, pour qu’il y ait un développement inclusif, il faut prendre en compte les couches les plus vulnérables, à savoir les jeunes et les femmes. C’est pourquoi la question de l’emploi des jeunes et l’autonomisation de la femme, reste essentielle pour son institution. C’est tout le sens de la mise en place des Commissions Entrepreneuriat féminin et Entrepreneuriat jeunes avec l’incubateur. Aussi, a-t-il noté le renforcement des capacités des entreprises. L’un des objectifs principaux, a-t-il ajouté, est de briser les frontières au niveau de la langue afin que les entreprises Ivoiriennes arrivent à se faire valoir à l’échelle internationale.
Quant à Mlle Aude Kanga, responsable des adhérents à la CGECI, elle a fait une présentation des opportunités d’affaires par secteurs d’activités avec une prospection dénommée « Côte d’Ivoire 2040 ». Ainsi dans le domaine Agricole, la noix de Cajou et la Cola présentent un fort taux de croissance. Le palmier, le cacao et le coton restent stables. Par ailleurs, elle a déploré que le secteur de la santé ne soit pas encore bien exploité. Une aubaine pour les investisseurs étrangers qui veulent s’y intéresser. Elle a invité les chefs d’entreprises Sud-Africaines à s’intéresser au secteur afin d’y apporter leur expertise en vue de l’amélioration des performances de la Côte d’Ivoire en la matière et rendre ce secteur plus compétitif.
Dans le secteur des hydrocarbures, a indiqué Aude Kanga, l’objectif de la Côte d’Ivoire est l’autosuffisance en ressources gazières en atteignant 150.000 barils par jour et capturer le marché de stockage et de transmission de gaz de la sous-région. Il s’agit également de positionner la ville de San-Pedro en termes de perspectives comme le pôle minéral régional.Elle a également présenté les facilitations faites par l’Etat de Côte d’Ivoire dans sa stratégie pour l’amélioration de l’environnement des affaires.
Du côté des investisseurs du pays de Mandela, ils sont favorables à nouer un partenariat gagnant-gagnant avec les entreprises Ivoiriennes. Pour rassurer, Dr Martyn Davies, directeur général de Marchés émergents et Afrique, a indiqué que quelles que soient les crises que l’Afrique du Sud traverse, elle a toujours la caractéristique d’un marché ouvert. Et ses entreprises ont encore la possibilité de se vendre à l’international.
Ce sont les rencontres B to B qui ont mis fin à ce forum économique.
