Casablanca (Maroc), 22 mars (AIP)- La consultante française en organisation de salon culinaire, Agnès Caso, a estimé mercredi à Casablanca (Maroc) que l’organisation des salons culinaires, notamment Crémai, le carrefour international des professionnels de la restauration, des métiers de la bouche, de l’alimentaire et de l’industrie hôtelière, est nécessaire pour la promotion des produits culinaires locaux.
Elle a expliqué lors d’une conférence que « ce genre de rencontre contribue au partage et à la revitalisation des territoires agricoles », notamment en valorisant l’offre du pays en termes de mets, d’industrie, de savoir-faire, de business. « Le salon est un lieu de lancement de nouveaux produits et son rôle dans le développement économique d’un pays est fondamental », a indiqué Agnès Caso.
« Dans notre environnement de mondialisation, c’est de faire ressortir les équipements et de valoriser les produits régionaux au sein d’un salon national et l’industrie. Aujourd’hui, les chefs et les experts sont là et les exposants aussi, c’est vraiment les ambassadeurs de la cuisine du pays et c’est un point essentiel pour le développement d’un salon comme le Crémai », a-t-elle ajouté.
Mme Caso a en outre exhorté notamment l’Afrique à s’intéresser aux métiers liés à la restauration par un transfert de compétences aux générations à venir, les jeunes à travers la formation, pour garantir la pérennité du patrimoine culinaire.
« Il faut arriver à mieux définir les identités culinaires pour pouvoir les transmettre ne serait-ce que dans des programmes d’écoles hôtelières pour qu’il y ait un programme de recette autour de la cuisine du pays pour les transmettre aux jeunes, car c’est eux qui vont être les vecteurs de tout cela », a conclu Agnès Caso.
Le Salon Crémai a officiellement ouvert ses portes mardi en présence du ministre marocain de l’Industrie, du Commerce, de l’Investissement et de l’Economie numérique, Moulay Hafid Elalamy ainsi que du président fondateur du Salon, Kama Rahal Essoulami. Il s’achève vendredi.
(AIP)
gak/cmas
Elle a expliqué lors d’une conférence que « ce genre de rencontre contribue au partage et à la revitalisation des territoires agricoles », notamment en valorisant l’offre du pays en termes de mets, d’industrie, de savoir-faire, de business. « Le salon est un lieu de lancement de nouveaux produits et son rôle dans le développement économique d’un pays est fondamental », a indiqué Agnès Caso.
« Dans notre environnement de mondialisation, c’est de faire ressortir les équipements et de valoriser les produits régionaux au sein d’un salon national et l’industrie. Aujourd’hui, les chefs et les experts sont là et les exposants aussi, c’est vraiment les ambassadeurs de la cuisine du pays et c’est un point essentiel pour le développement d’un salon comme le Crémai », a-t-elle ajouté.
Mme Caso a en outre exhorté notamment l’Afrique à s’intéresser aux métiers liés à la restauration par un transfert de compétences aux générations à venir, les jeunes à travers la formation, pour garantir la pérennité du patrimoine culinaire.
« Il faut arriver à mieux définir les identités culinaires pour pouvoir les transmettre ne serait-ce que dans des programmes d’écoles hôtelières pour qu’il y ait un programme de recette autour de la cuisine du pays pour les transmettre aux jeunes, car c’est eux qui vont être les vecteurs de tout cela », a conclu Agnès Caso.
Le Salon Crémai a officiellement ouvert ses portes mardi en présence du ministre marocain de l’Industrie, du Commerce, de l’Investissement et de l’Economie numérique, Moulay Hafid Elalamy ainsi que du président fondateur du Salon, Kama Rahal Essoulami. Il s’achève vendredi.
(AIP)
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