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Société Publié le samedi 8 avril 2017 | AIP

Des autorités administratives sensibilisées pour l’amélioration de la qualité des services d’état civil

© AIP Par JOB
Projet d`appui à l `amélioration de l`accès aux droits et à la justice: la clinique juridique de Bondoukou
Du lundi 07 au vendredi 11 avril 2014. Bondoukou. La Clinique Juridique de Bondoukou a organisé au centre Botogoni, un atelier de Renforcement des Capacités en faveur de ses Relais communautaires des régions du Gontougo et du Bounkani. Objectif: la familiarisation de ses relais communautaires aux notions juridiques.
Bouaké, Les sous-préfets, les maires, les chefs des services administratifs des mairies, des représentants des conseils régionaux des régions de Gbêkê et Hambol, ont pris part, vendredi, à Bouaké, à un atelier de sensibilisation pour l’amélioration de la qualité des services offerts par les centres d’état civil et éviter les nombreux conflits sociaux et juridiques.

Initié par la clinique juridique locale, l’atelier a permis d’exhorter les participants à travailler avec beaucoup plus de minutie, de professionnalisme et de renforcer leurs connaissances sur le traitement du contentieux en matière d’état civil, relativement à la transcription et rectification des actes.

«Il est important et impérieux de leur parler de leur responsabilité vis-à-vis des actes qu’ils posent au sein de l’état civil et je pense que, s’ils sont conscients de cela, ils vont faire plus attention», a indiqué la directrice de la clinique juridique de Bouaké, Mme Vanié Adjo Marie-Corine. Puis, justifiant l’atelier, elle a fait savoir que la thématique de l’Etat civil représente 41% des consultations juridiques de ses services dans les régions de Gbêkê et du Hambol.

L’on rencontre des problèmes de plusieurs ordres notamment, des cas d’erreurs dont le règlement occasionne des coûts élevés pour les populations, l’absence de déclaration des naissances, les problèmes de doublons, les registres introuvables. L’on rencontre entre autres, des cas de faux papiers produits par des personnes qui pour une raison ou une autre veulent bénéficier d’une nouvelle identité.

A l’origine de ces problèmes, Mme Vanié évoque le manque de formation des agents d’état civil et mêmes de certaines autorités administratives qui ignorent les normes juridiques en la matière.

(AIP)
nbf/kam
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