Abidjan – Le trimaran suisse "Race for Water" part pour une odyssée de cinq ans 100% écologique sur les océans, à compter de ce dimanche, afin d'étudier la pollution des mers par le plastique et de sensibiliser les citoyens de la planète à ce problème.
Le bateau a largué les amarres dans le port breton de Lorient (Morbihan). Énergétiquement propre et autonome à 100%, ce laboratoire flottant sur la pollution au plastique va faire le tour des océans en étant uniquement propulsé par l'énergie solaire.
Le navire était baptisé Planet Solar entre 2010 et 2012. Pour cette nouvelle expédition, il a été amélioré. En plus des 500 m² de panneaux solaires qui tapissent le pont, l'équipage dispose de deux autres sources d'énergie à savoir un système de propulsion à hydrogène tiré de l'eau de mer dessalée et un kite, une sorte de voile de cerf-volant, de 40 m².
Pour cette odyssée, la fondation suisse Race for Water, à l'origine du projet, entend mener des actions concrètes. Le catamaran embarque un laboratoire qui va permettre aux scientifiques de faire des prélèvements et des mesures de la pollution tout au long du périple.
Les chercheurs "étudieront l'effet des micro particules sur l'environnement marin et sur la détérioration, dans le temps, du plastique dans l'eau", explique Marco Simeoni, président de la fondation Race for Water, cité par le site francetvinfo.fr.
(AIP)
cmas
Le bateau a largué les amarres dans le port breton de Lorient (Morbihan). Énergétiquement propre et autonome à 100%, ce laboratoire flottant sur la pollution au plastique va faire le tour des océans en étant uniquement propulsé par l'énergie solaire.
Le navire était baptisé Planet Solar entre 2010 et 2012. Pour cette nouvelle expédition, il a été amélioré. En plus des 500 m² de panneaux solaires qui tapissent le pont, l'équipage dispose de deux autres sources d'énergie à savoir un système de propulsion à hydrogène tiré de l'eau de mer dessalée et un kite, une sorte de voile de cerf-volant, de 40 m².
Pour cette odyssée, la fondation suisse Race for Water, à l'origine du projet, entend mener des actions concrètes. Le catamaran embarque un laboratoire qui va permettre aux scientifiques de faire des prélèvements et des mesures de la pollution tout au long du périple.
Les chercheurs "étudieront l'effet des micro particules sur l'environnement marin et sur la détérioration, dans le temps, du plastique dans l'eau", explique Marco Simeoni, président de la fondation Race for Water, cité par le site francetvinfo.fr.
(AIP)
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