Gagnoa - Le projet de spécialiser chacun des villages de la commune de Gagnoa, dans un produit de grande consommation, a été développé mercredi, dans un entretien téléphonique à l’AIP, par le directeur général de L’Office national de développement rizicol (ONDR), un cadre de la cité de Gagnoa.
Il s’agit d’orienter chacun des villages spécifiquement vers la production de poulets de chair, de pondeuses, d’œufs, de maraîchers, de riz, de banane notamment, a expliqué le directeur général de ONDR, Dembélé Yacouba qui avait déjà lancé publiquement l’idée samedi, en marge de l’investiture du président de la mutuelle de développement de Guessihio (05 km Gagnoa).
L’expert agronome a regretté que la forte demande en ses produits ne puissent pas êtres satisfaite par la production locale, alors que Gagnoa est entouré de terre riche et de bas-fond, et que l’offre vienne d’ailleurs pour alimenter les marchés et les ménages de la ville.
« C’est faisable et réalisable, à condition que nos mutuelles de cadres s’impliquent », a insisté Dembélé Yacouba, qui soutient que l’idée n’est pas nouvelle, et qu’il l’avait déjà expérimentée à Daloa (Centre-Ouest), alors jeune ingénieur agronome, au côté de l’ancien ministre de l’Agriculture, Denis Bra Kanon, il y a de cela plusieurs années.
Il a encouragé les cadres à tourner le dos à la politique politicienne, et à agir pour avoir des mutuelles fortes, afin d’impulser le développement local.
dd/fmo
Il s’agit d’orienter chacun des villages spécifiquement vers la production de poulets de chair, de pondeuses, d’œufs, de maraîchers, de riz, de banane notamment, a expliqué le directeur général de ONDR, Dembélé Yacouba qui avait déjà lancé publiquement l’idée samedi, en marge de l’investiture du président de la mutuelle de développement de Guessihio (05 km Gagnoa).
L’expert agronome a regretté que la forte demande en ses produits ne puissent pas êtres satisfaite par la production locale, alors que Gagnoa est entouré de terre riche et de bas-fond, et que l’offre vienne d’ailleurs pour alimenter les marchés et les ménages de la ville.
« C’est faisable et réalisable, à condition que nos mutuelles de cadres s’impliquent », a insisté Dembélé Yacouba, qui soutient que l’idée n’est pas nouvelle, et qu’il l’avait déjà expérimentée à Daloa (Centre-Ouest), alors jeune ingénieur agronome, au côté de l’ancien ministre de l’Agriculture, Denis Bra Kanon, il y a de cela plusieurs années.
Il a encouragé les cadres à tourner le dos à la politique politicienne, et à agir pour avoir des mutuelles fortes, afin d’impulser le développement local.
dd/fmo
