Les responsables locaux de l’usine de la société africaine de cacao (SACO) et les autorités municipales de San Pedro ont décidé lundi, de trouver des solutions pouvant aider à décongestionner les trottoirs du principal boulevard de la ville, notamment au niveau du quartier Séwéké face aux préjudices subis par les commerçants riverains de l’usine du fait de longs stationnements de camions de cacao.
L'entreprise SACO « reste à l’écoute de ses riverains, et mettra dès lundi en place une stratégie pour éviter que les camions ne mettent trop de temps à être déchargés », notamment en évitant qu’un fournisseur ne vienne avec plus de trois camions à décharger, a expliqué le chef d’usine et responsable du site de SACO, Koné Nanontia.
Koné Nanontia a cependant précisé que son entreprise n’est pas directement responsable de la situation. Selon lui, depuis l’ouverture de la petite campagne, de nombreux fournisseurs ont choisi de livrer leurs produits à son usine.
Des commerçants, voisins de l’usine de cacao, ce sont réunis jeudi pour exprimer leur ras-le-bol de voir leurs commerces mis en danger par de longues files de camions de cacao stationnés le long du principal boulevard de la ville, barrant ainsi la devanture de leurs magasins depuis la grande campagne de cacao, leur causant une chute de 80% de leurs chiffres d’affaires.
jmk/akn/kam
L'entreprise SACO « reste à l’écoute de ses riverains, et mettra dès lundi en place une stratégie pour éviter que les camions ne mettent trop de temps à être déchargés », notamment en évitant qu’un fournisseur ne vienne avec plus de trois camions à décharger, a expliqué le chef d’usine et responsable du site de SACO, Koné Nanontia.
Koné Nanontia a cependant précisé que son entreprise n’est pas directement responsable de la situation. Selon lui, depuis l’ouverture de la petite campagne, de nombreux fournisseurs ont choisi de livrer leurs produits à son usine.
Des commerçants, voisins de l’usine de cacao, ce sont réunis jeudi pour exprimer leur ras-le-bol de voir leurs commerces mis en danger par de longues files de camions de cacao stationnés le long du principal boulevard de la ville, barrant ainsi la devanture de leurs magasins depuis la grande campagne de cacao, leur causant une chute de 80% de leurs chiffres d’affaires.
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