Le renforcement des réseaux nationaux de coordination de surveillance de l'environnement en Afrique, a été préconisé par la Commissaire de l'Union Africaine (UA) pour l'Economie Rurale et l'Agriculture, Josefa Leonel Correia Sacko.
Mme Sacko, qui s' est exprimé lundi à Dakar lors de l' ouverture du 2ème forum international du Programme de Surveillance de l'Environnement pour la Sécurité en Afrique (MESA), a indiqué que l'objectif du projet est d' accroître la capacité de gestion de l'information, de prise de décision et de planification des institutions continentales, régionales et nationales africaines mandatées pour l'environnement, le climat et la sécurité alimentaire."Il est primordial de renforcer les réseaux nationaux pour une diffusion effective de l'information. Ces réseaux sont très essentiels pour que les institutions mandatées diffusent l'information en temps opportun aux utilisateurs visés et sous une forme qu' ils comprennent", a-t-elle précisé.Bien que la plupart des réseaux soient actifs, la Commissaire de l'UA a souligné que certains "ne sont toujours pas efficaces".
"Cela prive les décideurs d'informations qui auraient éclairé la prise de décision ainsi que la conception de mesure de prévention", a-t-elle expliqué.Mme Sacko a d' autre part plaidé pour le dédouanement des équipements acquis par le MESA pour ses pays membres.
"Dans certains pays, l'équipement est sous la garde de l'autorité douanière depuis plus de six mois. Je voudrais exhorter les pays concernés à résoudre rapidement le problème de l'autorisation et de l'installation des équipements", a-t-elle déclaré.
A côté de ce problème, elle a souligné les défis du continent qui portent sur l'insécurité alimentaire et nutritionnelle, les conflits, les changements climatiques, l'utilisation non durable des ressources environnementales et naturelles, etc.Pour sa part, le ministre sénégalais de l'Environnement, Abdoulaye Bibi Baldé, a relevé que "les transformations espérées des économies africaines restent liées aux capacités de maîtrise et de valorisation des applications des informations et l'observation de la terre dans tous les secteurs de la vie de des communautés".
Le projet MESA est financé par l'Union européenne à hauteur de 23 milliards de francs CFA et dispose de sept centres régionaux de coordination.
Le 2ème forum de Dakar du MESA, va regrouper pendant 4 jours plus de 250 délégués internationaux composés de décideurs politiques, de planificateurs, d'utilisateurs de données d' observation de la Terre et d' experts de 49 pays bénéficiaires du projet MESA.
Mme Sacko, qui s' est exprimé lundi à Dakar lors de l' ouverture du 2ème forum international du Programme de Surveillance de l'Environnement pour la Sécurité en Afrique (MESA), a indiqué que l'objectif du projet est d' accroître la capacité de gestion de l'information, de prise de décision et de planification des institutions continentales, régionales et nationales africaines mandatées pour l'environnement, le climat et la sécurité alimentaire."Il est primordial de renforcer les réseaux nationaux pour une diffusion effective de l'information. Ces réseaux sont très essentiels pour que les institutions mandatées diffusent l'information en temps opportun aux utilisateurs visés et sous une forme qu' ils comprennent", a-t-elle précisé.Bien que la plupart des réseaux soient actifs, la Commissaire de l'UA a souligné que certains "ne sont toujours pas efficaces".
"Cela prive les décideurs d'informations qui auraient éclairé la prise de décision ainsi que la conception de mesure de prévention", a-t-elle expliqué.Mme Sacko a d' autre part plaidé pour le dédouanement des équipements acquis par le MESA pour ses pays membres.
"Dans certains pays, l'équipement est sous la garde de l'autorité douanière depuis plus de six mois. Je voudrais exhorter les pays concernés à résoudre rapidement le problème de l'autorisation et de l'installation des équipements", a-t-elle déclaré.
A côté de ce problème, elle a souligné les défis du continent qui portent sur l'insécurité alimentaire et nutritionnelle, les conflits, les changements climatiques, l'utilisation non durable des ressources environnementales et naturelles, etc.Pour sa part, le ministre sénégalais de l'Environnement, Abdoulaye Bibi Baldé, a relevé que "les transformations espérées des économies africaines restent liées aux capacités de maîtrise et de valorisation des applications des informations et l'observation de la terre dans tous les secteurs de la vie de des communautés".
Le projet MESA est financé par l'Union européenne à hauteur de 23 milliards de francs CFA et dispose de sept centres régionaux de coordination.
Le 2ème forum de Dakar du MESA, va regrouper pendant 4 jours plus de 250 délégués internationaux composés de décideurs politiques, de planificateurs, d'utilisateurs de données d' observation de la Terre et d' experts de 49 pays bénéficiaires du projet MESA.
