Dimbokro- Une vingtaine de litiges notamment entre travailleurs et employeurs sont enregistrés par mois dans le N'zi-Iffou et Moronou, a révélé le directeur régional du Travail, Koffi Boffo Appolinaire, lors d’un entretien avec l'AIP, vendredi, en cette veille de la fête du travail qui sera célébrée le 1er mai.
Koffi Boffo Appolinaire qui s’est inquiété de ce taux élevé de litiges, a déploré l’illégalité de ces mouvements d’humeurs des travailleurs constatés dans les entreprises à Dimbokro, Bocanda ou à Daoukro qui, a-t-il dit, conduisent le plus souvent à des « sanctions et licenciements justifiés car la grève doit suivre un processus qui commence par un préavis ».
Il a souligné la neutralité de l’institution qu’il dirige dans le règlement des conflits, relevant un rôle de police pour le respect de la réglementation et la législation du travail car le monde du travail est régi par des textes.
« La fête du travail, en réalité, est une tribune pour les travailleurs d'exprimer leurs doléances. C’est une tribune d'échanges et de communication entre le travailleur et le politique », a fait savoir M. Bouaffo, Il a ajouté que c’est aussi un tremplin pour le politique de donner des solutions notamment aux problèmes des travailleurs, exhortant les travailleurs de Dimbokro à une grande mobilisation ce premier mai.
Si le 1er mai est un jour chômé et payé depuis 1947, dans plusieurs pays notamment en France, la Fête du travail tire ses origines dans les manifestations des salariés américains qui réclamaient en 1886 la journée de travail de 8 heures, rappelle-t-on.
ik/fmo
Koffi Boffo Appolinaire qui s’est inquiété de ce taux élevé de litiges, a déploré l’illégalité de ces mouvements d’humeurs des travailleurs constatés dans les entreprises à Dimbokro, Bocanda ou à Daoukro qui, a-t-il dit, conduisent le plus souvent à des « sanctions et licenciements justifiés car la grève doit suivre un processus qui commence par un préavis ».
Il a souligné la neutralité de l’institution qu’il dirige dans le règlement des conflits, relevant un rôle de police pour le respect de la réglementation et la législation du travail car le monde du travail est régi par des textes.
« La fête du travail, en réalité, est une tribune pour les travailleurs d'exprimer leurs doléances. C’est une tribune d'échanges et de communication entre le travailleur et le politique », a fait savoir M. Bouaffo, Il a ajouté que c’est aussi un tremplin pour le politique de donner des solutions notamment aux problèmes des travailleurs, exhortant les travailleurs de Dimbokro à une grande mobilisation ce premier mai.
Si le 1er mai est un jour chômé et payé depuis 1947, dans plusieurs pays notamment en France, la Fête du travail tire ses origines dans les manifestations des salariés américains qui réclamaient en 1886 la journée de travail de 8 heures, rappelle-t-on.
ik/fmo
