Une centaine d'ex-combattants ont barré la principale voie d'accès à la ville de Bouaké, dans le nord du pays, ce lundi 8 mai. Un mouvement d’humeur qui n’a pas laissé indifférent le gouvernement, qui même s'il continue de négocier, pourrait ne plus hésiter à brandir la carte de la fermeté.
Le gouvernement ivoirien va-t-il laisser libre cours aux demandes de primes répétées des anciens combattants qui donnent lieu à des blocages accompagnés de violences depuis maintenant plusieurs mois ? Le dernier mouvement d’humeur s’est produit lundi 8 mai à Bouaké, la grande agglomération du nord, où une centaine d’ex-combattants ont barré la route principale pour exiger des primes de 18 millions de francs CFA chacun et la reconnaissance de leur grade de... suite de l'article sur Jeune Afrique
Le gouvernement ivoirien va-t-il laisser libre cours aux demandes de primes répétées des anciens combattants qui donnent lieu à des blocages accompagnés de violences depuis maintenant plusieurs mois ? Le dernier mouvement d’humeur s’est produit lundi 8 mai à Bouaké, la grande agglomération du nord, où une centaine d’ex-combattants ont barré la route principale pour exiger des primes de 18 millions de francs CFA chacun et la reconnaissance de leur grade de... suite de l'article sur Jeune Afrique