Devant le vol récurrent d’engins à deux et/ou trois roues dans la commune de Gagnoa, la police a lancé une sévère mise en garde aux garagistes et réparateurs de ces engins, les enjoignant de collaborer avec les services compétents de sécurité, lors d’une rencontre d’échanges tripartite, Chambre des métiers, police, chefs de garage motos.
« Messieurs les mécaniciens, renseignez-nous », a lâché samedi après-midi, le capitaine Konan Arsène, commandant de l’Ordre Public et Sécurité Routière (OPSR) de la préfecture de police de Gagnoa, du haut de l’estrade de la bourse du travail de la ville, où se tenait la rencontre initié par le président de la Chambre des Métiers, Coulibaly Saïdou.
L’officier a tancé les mécaniciens de motos, de ne pas « collaborer » avec la police et refuser de faire du « renseignement », alors que dit-il, l’immense majorité de ces machines volés, passent par les mains des mécanos, qui « modifient » soit la coque, soit la couleur où inter change les moteurs et châssis, de sorte à rendre ces engins « quasiment » introuvables.
« C’est vous qui pouvez nous aidez », a insisté capitaine Konan, rappelant à la cinquantaine de garagistes présents, l’obligation de dénoncer ces cas de vols, ou tout au moins, d’alerter les forces de l’ordre, devant des situations « douteuses », d’individus se présentant avec plusieurs motos, pour lesquelles, il demande des modifications.
« Rappelez-vous que vous pouvez être poursuivi pour complicité », a renchérit le président de la Chambre départementale des métiers de Gagnoa, Coulibaly Saïdou, mettant en garde ces collègues artisans contre de tel agissements, avant d’exiger d’eux, une « collaboration franche » avec les forces de l’ordre, vu que la chambre des métiers se veut une institution qui accompagne l’Etat de Côte d’Ivoire.
Le port du casque, ainsi que la nécessité d’avoir des papiers administratifs, dont l’assurance et le permis de conduire catégorie A, ont été les autres points de sensibilisation de la police, envers l’association des réparateurs d’engins à deux et/ou trois roues.
dd/kam
« Messieurs les mécaniciens, renseignez-nous », a lâché samedi après-midi, le capitaine Konan Arsène, commandant de l’Ordre Public et Sécurité Routière (OPSR) de la préfecture de police de Gagnoa, du haut de l’estrade de la bourse du travail de la ville, où se tenait la rencontre initié par le président de la Chambre des Métiers, Coulibaly Saïdou.
L’officier a tancé les mécaniciens de motos, de ne pas « collaborer » avec la police et refuser de faire du « renseignement », alors que dit-il, l’immense majorité de ces machines volés, passent par les mains des mécanos, qui « modifient » soit la coque, soit la couleur où inter change les moteurs et châssis, de sorte à rendre ces engins « quasiment » introuvables.
« C’est vous qui pouvez nous aidez », a insisté capitaine Konan, rappelant à la cinquantaine de garagistes présents, l’obligation de dénoncer ces cas de vols, ou tout au moins, d’alerter les forces de l’ordre, devant des situations « douteuses », d’individus se présentant avec plusieurs motos, pour lesquelles, il demande des modifications.
« Rappelez-vous que vous pouvez être poursuivi pour complicité », a renchérit le président de la Chambre départementale des métiers de Gagnoa, Coulibaly Saïdou, mettant en garde ces collègues artisans contre de tel agissements, avant d’exiger d’eux, une « collaboration franche » avec les forces de l’ordre, vu que la chambre des métiers se veut une institution qui accompagne l’Etat de Côte d’Ivoire.
Le port du casque, ainsi que la nécessité d’avoir des papiers administratifs, dont l’assurance et le permis de conduire catégorie A, ont été les autres points de sensibilisation de la police, envers l’association des réparateurs d’engins à deux et/ou trois roues.
dd/kam
