Séguéla – L’imam de la fondation Djigui, Camara Mohamed, et le président des pasteurs de Séguéla, Tah Bi Narcisse, ont expliqué aux populations, lors d’un panel à la préfecture de la région du Worodougou, que les bastonnades des femmes par les hommes ne sont aucunement recommandées par les différentes religions qu’ils représentent.
"Nulle part, c’est mentionné, dans le Coran, que le mari doit frapper sa femme. Ça n’a rien de religieux", a relevé, dimanche, le guide religieux à une dame qui voulait en avoir le cœur net au cours d’une communication sur "La place de la famille dans la lutte contre les pratiques culturelles néfastes".
"Qu’Allah nous donne une bonne compréhension", a-t-il souhaité à l’assistance.
Pour le pasteur Tah Bi Narcisse qui s’est appesanti sur "L’harmonie familiale, socle de paix et de cohésion sociale", la parole de Dieu interdit de frapper la femme. "(…) Ce n’est pas reconnu par la bible", a affirmé l’homme de Dieu, estimant que la femme n’est pas un objet sur lequel il faut taper tout le temps, mais "un être précieux" à qui il faut, chaque jour, manifester son amour, a-t-il fait savoir.
Ces communications ont été organisées en prélude à la Journée internationale de la famille (JIFA) 2017 dont la célébration officielle en Côte d’Ivoire s’est déroulée lundi à Séguéla, en présence de la directrice de cabinet de la ministre de la Femme, de la Protection de l’enfant et de la Solidarité, Mme Bosso Yvonne.
Kkp/kp
"Nulle part, c’est mentionné, dans le Coran, que le mari doit frapper sa femme. Ça n’a rien de religieux", a relevé, dimanche, le guide religieux à une dame qui voulait en avoir le cœur net au cours d’une communication sur "La place de la famille dans la lutte contre les pratiques culturelles néfastes".
"Qu’Allah nous donne une bonne compréhension", a-t-il souhaité à l’assistance.
Pour le pasteur Tah Bi Narcisse qui s’est appesanti sur "L’harmonie familiale, socle de paix et de cohésion sociale", la parole de Dieu interdit de frapper la femme. "(…) Ce n’est pas reconnu par la bible", a affirmé l’homme de Dieu, estimant que la femme n’est pas un objet sur lequel il faut taper tout le temps, mais "un être précieux" à qui il faut, chaque jour, manifester son amour, a-t-il fait savoir.
Ces communications ont été organisées en prélude à la Journée internationale de la famille (JIFA) 2017 dont la célébration officielle en Côte d’Ivoire s’est déroulée lundi à Séguéla, en présence de la directrice de cabinet de la ministre de la Femme, de la Protection de l’enfant et de la Solidarité, Mme Bosso Yvonne.
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