Yamoussoukro -Des habitants de Morofé, dans la commune de Yamoussoukro, ont organisé un meeting de soutien à leur chef, Nanan Georges Tanoh Kouassi, dans une affaire de vente de terrain l’opposant à un groupe de résidents qui réclament sa destitution.
"Nous ne nous reconnaissons pas dans les accusations non fondées portées contre notre chef. Il reste notre seul chef et nous lui témoignons notre confiance et lui apportons notre reconnaissance et notre soutien", a déclaré le président des jeunes de Morofé, Kouassi Koffi Germain, lors d’un meeting de soutien vendredi à la place publique du village.
Le président des jeunes a dénoncé l’attitude des dissidents qui ne se conforment pas aux règles établies par l’ensemble des villageois dans la gestion des terres. "Ces insoumis n’ont aucun droit ni l’autorité pour démettre notre chef", a-t-il dit, rappelant que seule l’autorité préfectorale est à même de révoquer le chef, "et seulement en cas de faute grave", a souligné le président des jeunes de Morofé.
Pour sa part, la présidente des femmes de Morofé, Suzanne Kouassi, a reconnu la gestion transparence des affaires du village par le chef, particulièrement en matière de foncier rural. Elle a invité les jeunes à la raison et à la cohésion pour ne pas embraser le village.
Un groupe d’habitants de Morofé révoltés avait envahi le domicile du chef du village le 7 mai, aux environs de 3H du matin, cassant tout sur son passage et enflammant des pneus autour de la maison de l’autorité traditionnelle, rappelle-t-on.
"Morofé est notre héritage, nous devons faire barrage aux insurgés qui attentent à la vie des autorités du village", a déclaré le coordonnateur de la de la nouvelle jeunesse de Morofé, Lopez Kadia Aka, qui a demandé que la jeunesse du village soit formée pour éviter de tels agissements.
Tous ont souhaité la création d’une unité de protection des chefs et d’une cellule de sensibilisation à la cohésion sociale.
(AIP)
nam/kp
"Nous ne nous reconnaissons pas dans les accusations non fondées portées contre notre chef. Il reste notre seul chef et nous lui témoignons notre confiance et lui apportons notre reconnaissance et notre soutien", a déclaré le président des jeunes de Morofé, Kouassi Koffi Germain, lors d’un meeting de soutien vendredi à la place publique du village.
Le président des jeunes a dénoncé l’attitude des dissidents qui ne se conforment pas aux règles établies par l’ensemble des villageois dans la gestion des terres. "Ces insoumis n’ont aucun droit ni l’autorité pour démettre notre chef", a-t-il dit, rappelant que seule l’autorité préfectorale est à même de révoquer le chef, "et seulement en cas de faute grave", a souligné le président des jeunes de Morofé.
Pour sa part, la présidente des femmes de Morofé, Suzanne Kouassi, a reconnu la gestion transparence des affaires du village par le chef, particulièrement en matière de foncier rural. Elle a invité les jeunes à la raison et à la cohésion pour ne pas embraser le village.
Un groupe d’habitants de Morofé révoltés avait envahi le domicile du chef du village le 7 mai, aux environs de 3H du matin, cassant tout sur son passage et enflammant des pneus autour de la maison de l’autorité traditionnelle, rappelle-t-on.
"Morofé est notre héritage, nous devons faire barrage aux insurgés qui attentent à la vie des autorités du village", a déclaré le coordonnateur de la de la nouvelle jeunesse de Morofé, Lopez Kadia Aka, qui a demandé que la jeunesse du village soit formée pour éviter de tels agissements.
Tous ont souhaité la création d’une unité de protection des chefs et d’une cellule de sensibilisation à la cohésion sociale.
(AIP)
nam/kp
