San Pedro – Le canton Wapo, dans la sous-préfecture de Grand-Béréby, recevant dans le village de Ouéléké le préfet de région de San Pedro, Ousmane Coulibaly, lors d'une visite de travail, lui a demandé de plaider auprès de l’entreprise agro-industrielle SOGB, pour l’obtention de 4 km de terre autour de ses villages, afin de faciliter l’extension des villages.
Le canton Wapo issu du groupe Kroumen, autochtone de la région de San Pedro (Sud-Ouest), est peuplé par environ 18 000 habitants, selon le dernier Recensement général de la population et de l’habitat de 2014. Ceux-ci sont repartis dans 17 villages s’étendant sur une superficie de 1750 km², jugée aujourd’hui insuffisante, en raison de la croissance de la population et des besoins en terres cultivables.
La Société de caoutchouc de Grand-Béréby (SOGB) occupe une superficie d’environ 35 000 ha, destinée à la culture et la transformation de palmier à huile et d’hévéa. Elle a été concédée par l’Etat ivoirien dans les années 80 à un groupe privé.
Les villages du canton Wapo, riverains de cette société, ont par la voix de leur porte-parole, Nado Emile, demandé au préfet de région de les aider à faire aboutir leur doléance auprès du gouvernement et de la SOGB, parce que la rareté des terres pour ce canton devient de plus en plus préoccupante.
(AIP)
jm
Le canton Wapo issu du groupe Kroumen, autochtone de la région de San Pedro (Sud-Ouest), est peuplé par environ 18 000 habitants, selon le dernier Recensement général de la population et de l’habitat de 2014. Ceux-ci sont repartis dans 17 villages s’étendant sur une superficie de 1750 km², jugée aujourd’hui insuffisante, en raison de la croissance de la population et des besoins en terres cultivables.
La Société de caoutchouc de Grand-Béréby (SOGB) occupe une superficie d’environ 35 000 ha, destinée à la culture et la transformation de palmier à huile et d’hévéa. Elle a été concédée par l’Etat ivoirien dans les années 80 à un groupe privé.
Les villages du canton Wapo, riverains de cette société, ont par la voix de leur porte-parole, Nado Emile, demandé au préfet de région de les aider à faire aboutir leur doléance auprès du gouvernement et de la SOGB, parce que la rareté des terres pour ce canton devient de plus en plus préoccupante.
(AIP)
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