Abidjan - Retardé pendant deux mois par le décès, en décembre, de l’actrice Marie Louise Asseu, le tournage de la série feuilletonnante « Ma grande famille » a repris de plus belle et la diffusion des premiers épisodes devrait démarrer le 1er décembre sur la chaine Afrique plus (A+) comme convenu.
Dans les jardins du Chalet Dime d’Assinie, les artistes comédiens ivoiriens les plus en vogue, tournaient, lundi, plusieurs séquences, sans répit, d’une scène en prélude à celle du « mariage de la Reine », dans un décor somptueux, entre mer et lagune, a constaté l'AIP.
« Nous devions tourner 10 jours ici. Mais il a plu toute la journée de jeudi et nous n’avons rien pu faire », pestait la réalisatrice, Akissi Delta entre deux prises, faisant remarquer que la location journalière des suites de la Résidence courait entre 150 000 et 350 000 FCFA. Le tournage souffre également de la planification de l’intervention des grosses pointures, dont Digbeu Cravate, et de menus questions d’intendance aux conséquences potentiellement dramatiques.
Devrait s’en suivre des scènes « au village », un village que la réalisatrice a entièrement construit à l’intérieur du pays pour que le tournage ne subisse pas las avaries et nuisances sonores de la vie d’un village ordinaire, avant que l'équipe de production ne mette le cap sur le Sénégal.
Le scénario de « Ma grande famille » diffère de celui de « Ma famille » par la diversité « des familles » présentant les spécificités et particularités culturelles des peuples de l’Afrique francophone subsaharienne. Il s’enrichit des acteurs et techniciens avec des tournages dans cinq pays différents (Burkina Faso, Mali, Sénégal, Togo et Côte d’Ivoire). A travers la multiplication de scènes en extérieur, la réalisatrice veut promouvoir la richesse du patrimoine touristique des pays de tournage.
Pour le producteur exécutif, Djira Youssouf, ce projet s’inscrit dans le cadre de l’internationalisation et de la pérennisation de ce « label » ivoirien, première série TV d'Afrique noire francophone à travers les standards, normes et langage du 7ème art en servant de tremplin aux jeunes africains qui devraient s’approprier ce vecteur culturel, créateur d’emplois et de richesse. L'encadrement et l'équipement offrent, en effet, la capacité de doublage en Anglais.
« Ma grande famille » est produit à 100% par la chaine de divertissement et de séries et fictions, Afrique plus (A+) qui atteint depuis son lancement, en 2014, plus de trois millions de foyers en Afrique et dans la diaspora, selon son directeur, Damiano Malchiodi. A+ a produit 100 heures de séries et fictions, tandis que 326 autres heures sont en tournage, dont « Ma grande famille ». En matière de divertissement, elle entend en produire plus de 80 heures cette année.
La diffusion des 108 premiers épisodes de « Ma grande famille » démarre le 1er décembre sur le bouquet de Canal + et, éventuellement, sur la prochaine chaîne gratuite Afrique + Côte d’Ivoire, de droit ivoirien.
aaa/fmo
Dans les jardins du Chalet Dime d’Assinie, les artistes comédiens ivoiriens les plus en vogue, tournaient, lundi, plusieurs séquences, sans répit, d’une scène en prélude à celle du « mariage de la Reine », dans un décor somptueux, entre mer et lagune, a constaté l'AIP.
« Nous devions tourner 10 jours ici. Mais il a plu toute la journée de jeudi et nous n’avons rien pu faire », pestait la réalisatrice, Akissi Delta entre deux prises, faisant remarquer que la location journalière des suites de la Résidence courait entre 150 000 et 350 000 FCFA. Le tournage souffre également de la planification de l’intervention des grosses pointures, dont Digbeu Cravate, et de menus questions d’intendance aux conséquences potentiellement dramatiques.
Devrait s’en suivre des scènes « au village », un village que la réalisatrice a entièrement construit à l’intérieur du pays pour que le tournage ne subisse pas las avaries et nuisances sonores de la vie d’un village ordinaire, avant que l'équipe de production ne mette le cap sur le Sénégal.
Le scénario de « Ma grande famille » diffère de celui de « Ma famille » par la diversité « des familles » présentant les spécificités et particularités culturelles des peuples de l’Afrique francophone subsaharienne. Il s’enrichit des acteurs et techniciens avec des tournages dans cinq pays différents (Burkina Faso, Mali, Sénégal, Togo et Côte d’Ivoire). A travers la multiplication de scènes en extérieur, la réalisatrice veut promouvoir la richesse du patrimoine touristique des pays de tournage.
Pour le producteur exécutif, Djira Youssouf, ce projet s’inscrit dans le cadre de l’internationalisation et de la pérennisation de ce « label » ivoirien, première série TV d'Afrique noire francophone à travers les standards, normes et langage du 7ème art en servant de tremplin aux jeunes africains qui devraient s’approprier ce vecteur culturel, créateur d’emplois et de richesse. L'encadrement et l'équipement offrent, en effet, la capacité de doublage en Anglais.
« Ma grande famille » est produit à 100% par la chaine de divertissement et de séries et fictions, Afrique plus (A+) qui atteint depuis son lancement, en 2014, plus de trois millions de foyers en Afrique et dans la diaspora, selon son directeur, Damiano Malchiodi. A+ a produit 100 heures de séries et fictions, tandis que 326 autres heures sont en tournage, dont « Ma grande famille ». En matière de divertissement, elle entend en produire plus de 80 heures cette année.
La diffusion des 108 premiers épisodes de « Ma grande famille » démarre le 1er décembre sur le bouquet de Canal + et, éventuellement, sur la prochaine chaîne gratuite Afrique + Côte d’Ivoire, de droit ivoirien.
aaa/fmo
