Bouna - Les travaux de construction de l’hôpital général de Doropo, dont la pose de la première pierre a été effectuée en décembre 2016 par le président du conseil régional du Bounkani, Hien Philippe, démarreront sous peu, a fait savoir jeudi, à l’AIP, le directeur de cabinet du président de cette structure, Kangouté Aboubakary.
Le site de la construction de cette infrastructure sanitaire, se trouve à l’entrée de la ville sur l’axe de Bouna à côté des ruines de l’ancienne maternité dont, souligne-t-on, les travaux de réhabilitation totale sont également prévus par le conseil régional du Bounkani.
Un geste fort salué par les populations de cette localité de près de 38 000 habitants. Celles-ci, pour inexistence de certains services médicaux, se rendent fréquemment au Burkina Faso ou descendent sur Bouna, à 75 km pour des soins.
"Avec la construction de cet hôpital général, c’est toute la zone nord du Bounkani qui bénéficiera de soins plus adéquats. Les travaux de construction de cette infrastructure démarreront très bientôt, pour le grand bonheur de la population", précise le directeur de cabinet.
Le centre de santé urbain (CSU) de Doropo, jusque-là fonctionnel, n’arrive plus à contenir le flot de malades qui assaillent de jour comme de nuit ses locaux, indique-t-on.
on/fm
Le site de la construction de cette infrastructure sanitaire, se trouve à l’entrée de la ville sur l’axe de Bouna à côté des ruines de l’ancienne maternité dont, souligne-t-on, les travaux de réhabilitation totale sont également prévus par le conseil régional du Bounkani.
Un geste fort salué par les populations de cette localité de près de 38 000 habitants. Celles-ci, pour inexistence de certains services médicaux, se rendent fréquemment au Burkina Faso ou descendent sur Bouna, à 75 km pour des soins.
"Avec la construction de cet hôpital général, c’est toute la zone nord du Bounkani qui bénéficiera de soins plus adéquats. Les travaux de construction de cette infrastructure démarreront très bientôt, pour le grand bonheur de la population", précise le directeur de cabinet.
Le centre de santé urbain (CSU) de Doropo, jusque-là fonctionnel, n’arrive plus à contenir le flot de malades qui assaillent de jour comme de nuit ses locaux, indique-t-on.
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