Tiébissou - La pénurie d’eau qui perdure depuis près de six mois dans la localité de Tiébissou (Centre, région du Bélier) pourrait avoir des conséquences sur les résultats scolaires de plusieurs candidats au Brevet d'études du premier cycle (BEPC) et au Baccalauréat, selon des informations recueillies par l’AIP.
Ces élèves en classe d'examen estiment que cette situation aura certainement des effets négatifs sur leurs résultats car ils passent beaucoup de temps en quête d’eau, au lieu d’étudier.
Un élève a révélé à l’AIP que ses camarades et li poussent des brouettes de bidons d’eau ou chargent des bidons sur de longues distances, en vue d’approvisionner leur famille en eau. Une situation ne leur permettant pas d’étudier convenablement.
«Nous pouvons mettre six heures de temps pour pouvoir obtenir un seau ou un bidon d’eau. L’eau venant au compte-goutte, l’on peut passer 30 minutes pour remplir un bidon de 30 litres », relate Yao Anne Marie.
Ces élèves qu’après tant d’efforts qui souvent ne permettent même pas d’obtenir le moindre seau d’eau, ils sont physiquement et moralement fatigués, frappés même d'insomnie. La psychose de la recherche récurrente d’eau, parfois très tard dans la nuit, les dérange énormément, précisent-ils.
myk/bsp/cmas
Ces élèves en classe d'examen estiment que cette situation aura certainement des effets négatifs sur leurs résultats car ils passent beaucoup de temps en quête d’eau, au lieu d’étudier.
Un élève a révélé à l’AIP que ses camarades et li poussent des brouettes de bidons d’eau ou chargent des bidons sur de longues distances, en vue d’approvisionner leur famille en eau. Une situation ne leur permettant pas d’étudier convenablement.
«Nous pouvons mettre six heures de temps pour pouvoir obtenir un seau ou un bidon d’eau. L’eau venant au compte-goutte, l’on peut passer 30 minutes pour remplir un bidon de 30 litres », relate Yao Anne Marie.
Ces élèves qu’après tant d’efforts qui souvent ne permettent même pas d’obtenir le moindre seau d’eau, ils sont physiquement et moralement fatigués, frappés même d'insomnie. La psychose de la recherche récurrente d’eau, parfois très tard dans la nuit, les dérange énormément, précisent-ils.
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