Odienné - Les ouvriers, employés par la société chinoise CRBC pour les travaux de bitumage de l'axe routier Odienné-Gbéléban, ont repris le travail samedi matin après un arrêt de plusieurs jours, une action du comité de suivi en attendant la clarification de leur situation de travail, a constaté l’AIP.
Reprise effective du travail, pas de provocation, pas de dispute, pas de signature de contrat, telles sont les recommandations faites par les délégués aux ouvriers avant l’embarquement, samedi matin. La reprise intervient après plusieurs réunions du comité de conciliation présidé par le sous-préfet d’Odienné, Zagou Serge Rodrigue.
L’arrêt du chantier est intervenu mercredi quand les responsables de la CRBC ont annoncé le renvoi de 75 agents des effectifs dont le délégué titulaire des employés Fofana Sekou, pour raison de fin de contrat.
Tous le personnel (255 agents) s’est déporté dans les locaux de l’inspection du travail pour manifester son mécontentement. Après plusieurs heures d’échanges avec l’inspection du travail, les agents ont décidé de ne plus travailler tant que le délégué et ses camarades ne réintègrent pas les effectifs de la CRBC. Déjà en avril, un affrontement entre patron chinois et ouvriers avait bloqué les travaux pendant plusieurs jours, rappelle-t-on.
ss/cmas
Reprise effective du travail, pas de provocation, pas de dispute, pas de signature de contrat, telles sont les recommandations faites par les délégués aux ouvriers avant l’embarquement, samedi matin. La reprise intervient après plusieurs réunions du comité de conciliation présidé par le sous-préfet d’Odienné, Zagou Serge Rodrigue.
L’arrêt du chantier est intervenu mercredi quand les responsables de la CRBC ont annoncé le renvoi de 75 agents des effectifs dont le délégué titulaire des employés Fofana Sekou, pour raison de fin de contrat.
Tous le personnel (255 agents) s’est déporté dans les locaux de l’inspection du travail pour manifester son mécontentement. Après plusieurs heures d’échanges avec l’inspection du travail, les agents ont décidé de ne plus travailler tant que le délégué et ses camarades ne réintègrent pas les effectifs de la CRBC. Déjà en avril, un affrontement entre patron chinois et ouvriers avait bloqué les travaux pendant plusieurs jours, rappelle-t-on.
ss/cmas
