Séguéla – Les acteurs de la filière du diamant à Séguéla (Nord-ouest, région du Worodougou) ont été invités à accorder un intérêt particulier aux activités génératrices de revenus (AGR) qu’ils peuvent mener en appoint à l’exploitation du diamant de plus en plus rare.
"Nous avons beaucoup investi dans la diversification des sources de revenus, car après 70 années d’exploitation, le diamant seul ne peut pas nourrir vos enfants et vos petits-enfants", s’est voulu explicite le directeur national du projet Droits de propriété et développement du diamant artisanal (DPDDA 2), Terah DeJong, qui s’adressait samedi aux propriétaires terriens et autres acheteurs réunis à Bobi pour une cérémonie de remise de matériels.
"Dans un an, nous ne serons plus là. Donc, c’est le moment de profiter de nos activités et d’y participer pleinement", a-t-il ajouté, tout en énumérant les programmes mis en œuvre dans divers secteurs dont l’agriculture avec la production de manioc, de maïs et de légumes, l’apiculture et la pisciculture.
Le projet DPDDA 2 qui vise à augmenter le volume de diamants légalement exporté et à améliorer les conditions de vie des communautés minières a débuté en 2013 et s’achève en 2018.
Il est cofinancé par l’USAID et l’Union européenne, note-t-on.
"Aujourd’hui, les populations des zones diamantifères souffrent de la rareté du minerais", a confié le sous-préfet de Bobi, Kouamé Loukou, qui, pour aider ses administrés à diversifier leurs sources de revenus, a mobilisé les populations pour la production de 1 500 T de riz.
Selon le sous-préfet de Séguéla, le diamant est épuisable. "Ne comptez pas sur le diamant qui va disparaître un jour", a affirmé, vendredi, Kouamé Kouakou, lors de la remise de matériel à cinq jeunes entrepreneurs qui doivent créer une chaîne de valeur dynamique autour de l’exploitation du diamant.
A Séguéla, l’exploitation artisanale du diamant connait aujourd’hui un ralentissement à cause de la réduction drastique des sites regorgeant la précieuse pierre.
Kkp/kp
"Nous avons beaucoup investi dans la diversification des sources de revenus, car après 70 années d’exploitation, le diamant seul ne peut pas nourrir vos enfants et vos petits-enfants", s’est voulu explicite le directeur national du projet Droits de propriété et développement du diamant artisanal (DPDDA 2), Terah DeJong, qui s’adressait samedi aux propriétaires terriens et autres acheteurs réunis à Bobi pour une cérémonie de remise de matériels.
"Dans un an, nous ne serons plus là. Donc, c’est le moment de profiter de nos activités et d’y participer pleinement", a-t-il ajouté, tout en énumérant les programmes mis en œuvre dans divers secteurs dont l’agriculture avec la production de manioc, de maïs et de légumes, l’apiculture et la pisciculture.
Le projet DPDDA 2 qui vise à augmenter le volume de diamants légalement exporté et à améliorer les conditions de vie des communautés minières a débuté en 2013 et s’achève en 2018.
Il est cofinancé par l’USAID et l’Union européenne, note-t-on.
"Aujourd’hui, les populations des zones diamantifères souffrent de la rareté du minerais", a confié le sous-préfet de Bobi, Kouamé Loukou, qui, pour aider ses administrés à diversifier leurs sources de revenus, a mobilisé les populations pour la production de 1 500 T de riz.
Selon le sous-préfet de Séguéla, le diamant est épuisable. "Ne comptez pas sur le diamant qui va disparaître un jour", a affirmé, vendredi, Kouamé Kouakou, lors de la remise de matériel à cinq jeunes entrepreneurs qui doivent créer une chaîne de valeur dynamique autour de l’exploitation du diamant.
A Séguéla, l’exploitation artisanale du diamant connait aujourd’hui un ralentissement à cause de la réduction drastique des sites regorgeant la précieuse pierre.
Kkp/kp
