Le président de l’ONG "Elections sans contestation" (ESC), Konaté Nouhou, annonce une batterie d’activités pour prévenir et anticiper des contestations lors des consultations électorales et mettre définitivement fin au cycle de violences marquant les élections depuis 1990.
"Les acteurs étatiques ne doivent plus être les seuls dépositaires de la responsabilité de la paix et de la démocratie. Il faudrait une implication très active de la société civile dans les processus électoraux", a déclaré Konaté Nouhou, lors d'un entretien, mardi, avec l'AIP.
Le président de l’ONG ESC a appelé à la mise en place d’un réseau des ONG qui travaillera en parfaite synergie avec les organismes étatiques existants pour des "élections futures sans violence en Côte d'Ivoire".
Il va, pour ce faire, organiser une table ronde avec les associations de jeunesse dans les semaines à venir. "L'objectif recherché, c'est de former une jeunesse sans frontières pour qui la patrie prime sur tout. Nous avons besoin des jeunes compétents dans divers domaines ; donc une jeunesse éprise de paix, prête à protéger et servir le pays et non les politiques", a-t-il ajouté.
Un nouveau mental sera révélé au sein d’un ‘compendium des compétences de la jeunesse’, afin de renforcer non seulement les liens de fraternité et surtout de dépassionner les débats politiques. Les jeunes seront appelés, lors de cette rencontre, à réfléchir sur les problèmes des violences électorales en Côte d'Ivoire et à faire des propositions constructives, a indiqué le président de l’ONG ESC dont le slogan est "Agir pour des élections futures sans contestation en Côte d’Ivoire ". "Nous y arriverons par l’organisation du dialogue citoyen entre partis politiques, organes de gestion électorale et la société civile", a affirmé Konaté Nouhou, qui a ajouté que la Côte d’Ivoire a besoin de paix pour son émergence et cette paix exige le dialogue, la concertation, la recherche obstinée des voies consensuelles, le bannissement des positions extrémistes dans les esprits des populations par des actions dans la durée et non temporaires.
Des bénévoles de la paix seront investis dans les différents départements, communes et sous-préfectures du pays afin de couvrir les axes d’intervention selon le principe ‘Médiation auprès des différents acteurs politiques et religieux ; Mobilisation des femmes et des jeunes pour la paix ; Management des élections par une mission d’observation, a-t-il conclu.
aaa/kp
"Les acteurs étatiques ne doivent plus être les seuls dépositaires de la responsabilité de la paix et de la démocratie. Il faudrait une implication très active de la société civile dans les processus électoraux", a déclaré Konaté Nouhou, lors d'un entretien, mardi, avec l'AIP.
Le président de l’ONG ESC a appelé à la mise en place d’un réseau des ONG qui travaillera en parfaite synergie avec les organismes étatiques existants pour des "élections futures sans violence en Côte d'Ivoire".
Il va, pour ce faire, organiser une table ronde avec les associations de jeunesse dans les semaines à venir. "L'objectif recherché, c'est de former une jeunesse sans frontières pour qui la patrie prime sur tout. Nous avons besoin des jeunes compétents dans divers domaines ; donc une jeunesse éprise de paix, prête à protéger et servir le pays et non les politiques", a-t-il ajouté.
Un nouveau mental sera révélé au sein d’un ‘compendium des compétences de la jeunesse’, afin de renforcer non seulement les liens de fraternité et surtout de dépassionner les débats politiques. Les jeunes seront appelés, lors de cette rencontre, à réfléchir sur les problèmes des violences électorales en Côte d'Ivoire et à faire des propositions constructives, a indiqué le président de l’ONG ESC dont le slogan est "Agir pour des élections futures sans contestation en Côte d’Ivoire ". "Nous y arriverons par l’organisation du dialogue citoyen entre partis politiques, organes de gestion électorale et la société civile", a affirmé Konaté Nouhou, qui a ajouté que la Côte d’Ivoire a besoin de paix pour son émergence et cette paix exige le dialogue, la concertation, la recherche obstinée des voies consensuelles, le bannissement des positions extrémistes dans les esprits des populations par des actions dans la durée et non temporaires.
Des bénévoles de la paix seront investis dans les différents départements, communes et sous-préfectures du pays afin de couvrir les axes d’intervention selon le principe ‘Médiation auprès des différents acteurs politiques et religieux ; Mobilisation des femmes et des jeunes pour la paix ; Management des élections par une mission d’observation, a-t-il conclu.
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