Ferkessédougou - Une zone cynégétique (favorable à la pratique de la chasse) de 100.883 hectares a été identifiée dans le district des Savanes, dans les départements de Ferkessédougou et Tafiré, dans le cadre d'un projet de réouverture de la pratique légale de la chasse sur le territoire ivoirien.
Selon le directeur régional des eaux et forêts du Poro, le colonel Mizan Zamblé Bi, la création et l'aménagement de zones cynégétiques permettra à la Côte d'Ivoire non seulement de "valoriser sa faune par une gestion rationnelle de la chasse, mais aussi d'impliquer les populations rurales à la gestion durable de cette faune ».
« L'activité de chasse se pratiquait avant l'interdiction de 1974. La légalisation de cette activité produira, à n'en point douter, des richesses pour l'Etat et les acteurs de la filière chasse à travers la génération de recettes fiscales et la création d'emplois notamment la chasse, commerce, restauration et guides de chasses. C'est pour cette raison que j'appelle les populations des villages concernés à adhérer à ce projet et à ne pas entraver les études qui sont en train d'être menées pour sa réalisation», a-t-il ajouté.
Cinq études sont en cours de réalisation sur l'ensemble du territoire national dont le district des Savanes, en vue de la réouverture de la chasse en Côte d'Ivoire.
Les études vont concerner en plus de l'identification des zones de chasses, l'organisation de la filière viande de brousse, la promotion de l'élevage de la faune sauvage, l’actualisation des listes des espèces menacées et l'inventaire des perroquets gris à queues rouges.
ti/ena/fmo
Selon le directeur régional des eaux et forêts du Poro, le colonel Mizan Zamblé Bi, la création et l'aménagement de zones cynégétiques permettra à la Côte d'Ivoire non seulement de "valoriser sa faune par une gestion rationnelle de la chasse, mais aussi d'impliquer les populations rurales à la gestion durable de cette faune ».
« L'activité de chasse se pratiquait avant l'interdiction de 1974. La légalisation de cette activité produira, à n'en point douter, des richesses pour l'Etat et les acteurs de la filière chasse à travers la génération de recettes fiscales et la création d'emplois notamment la chasse, commerce, restauration et guides de chasses. C'est pour cette raison que j'appelle les populations des villages concernés à adhérer à ce projet et à ne pas entraver les études qui sont en train d'être menées pour sa réalisation», a-t-il ajouté.
Cinq études sont en cours de réalisation sur l'ensemble du territoire national dont le district des Savanes, en vue de la réouverture de la chasse en Côte d'Ivoire.
Les études vont concerner en plus de l'identification des zones de chasses, l'organisation de la filière viande de brousse, la promotion de l'élevage de la faune sauvage, l’actualisation des listes des espèces menacées et l'inventaire des perroquets gris à queues rouges.
ti/ena/fmo
