Séguéla – Au nombre de 20, des femmes guéries de la fistule ont reçu des vivres et des non vivres en vue de mener des Activités génératrices de revenu (AGR) pouvant leur permettre de subvenir à leurs besoins, a relevé l’AIP, mercredi, au cours d’une cérémonie au Centre de santé urbain (CSU), Dominique Ouattara de Séguéla (Nord-ouest, région du Worodougou).
« La fistule (…) est une maladie dont seule la porteuse connait les souffrances. Elle constitue un blocage économique chez elle pour la simple raison que personne n’ose l’approcher à cause des urines qui coulent à longueur de journée et des odeurs », a déploré la représentante de l’ONG Yeti, Mme Coulibaly Mamou, qui entend ainsi donner un ‘’autre départ’’ aux récipiendaires.
Les bénéficiaires qui avaient abandonné leur petit commerce en raison de la maladie ont, auparavant, été opérées gratuitement par les partenaires de l’ONG Yeti qui est soutenue techniquement par l’Association ivoirienne pour le bien-être familial (AIBEF) et financièrement par l’Agence coréenne de coopération internationale (KOICA) et l’UNFPA.
Avant l’étape de Séguéla, ce sont autant de femmes qui ont également reçu chacune un kit d’une valeur de 50 000 francs à Korhogo, vendredi.
Caractérisée par un abouchement anormal d’une cavité qui déverse son contenu dans une autre, la fistule obstétricale survient généralement après un accouchement difficile et contraint, dans la plupart des cas, la malade à l’abandon par les siens.
Depuis le début de ce projet en 2013, ce sont en tout 362 femmes qui ont été prises en charge à Korhogo et à Séguéla, quand un peu plus de 200 attendent d’être aidées à leur tour.
kkp/fmo
« La fistule (…) est une maladie dont seule la porteuse connait les souffrances. Elle constitue un blocage économique chez elle pour la simple raison que personne n’ose l’approcher à cause des urines qui coulent à longueur de journée et des odeurs », a déploré la représentante de l’ONG Yeti, Mme Coulibaly Mamou, qui entend ainsi donner un ‘’autre départ’’ aux récipiendaires.
Les bénéficiaires qui avaient abandonné leur petit commerce en raison de la maladie ont, auparavant, été opérées gratuitement par les partenaires de l’ONG Yeti qui est soutenue techniquement par l’Association ivoirienne pour le bien-être familial (AIBEF) et financièrement par l’Agence coréenne de coopération internationale (KOICA) et l’UNFPA.
Avant l’étape de Séguéla, ce sont autant de femmes qui ont également reçu chacune un kit d’une valeur de 50 000 francs à Korhogo, vendredi.
Caractérisée par un abouchement anormal d’une cavité qui déverse son contenu dans une autre, la fistule obstétricale survient généralement après un accouchement difficile et contraint, dans la plupart des cas, la malade à l’abandon par les siens.
Depuis le début de ce projet en 2013, ce sont en tout 362 femmes qui ont été prises en charge à Korhogo et à Séguéla, quand un peu plus de 200 attendent d’être aidées à leur tour.
kkp/fmo
