Gagnoa - Les malades mentaux, visibles dans les rues de Guibéroua (27 km de Gagnoa), sont menacés d’expulsion par les autorités municipales qui envisagent "très sérieusement" cette mesure, afin de préserver la sécurité et la tranquillité des citoyens.
Selon Koffi Kouman, secrétaire général de la mairie, il sera procéder, avec l’appui des autorités de police et de gendarmerie, à un interrogatoire sur leurs origines, la manière dont ils sont arrivés à Guibéroua, en vue de rechercher les parents ou être conduits dans des centres spécialisés pour traitement qui, "malheureusement", n’existent pas sur place.
Interrogée sur la manière de procéder à l’interrogatoire d’un fou, l’autorité municipale explique que "comme pour l’heure, ils ne sont pas violents, par des recoupements, l’on pourra déceler, si possible, des indices dans les propos".
Si cette approche ne porte pas, la mairie envisage d’échanger avec les autorités en charge de la sécurité et voir, en la matière, les stratégies à utiliser pour leur expulsion du territoire de la commune de Guibéroua.
Dd/kp
Selon Koffi Kouman, secrétaire général de la mairie, il sera procéder, avec l’appui des autorités de police et de gendarmerie, à un interrogatoire sur leurs origines, la manière dont ils sont arrivés à Guibéroua, en vue de rechercher les parents ou être conduits dans des centres spécialisés pour traitement qui, "malheureusement", n’existent pas sur place.
Interrogée sur la manière de procéder à l’interrogatoire d’un fou, l’autorité municipale explique que "comme pour l’heure, ils ne sont pas violents, par des recoupements, l’on pourra déceler, si possible, des indices dans les propos".
Si cette approche ne porte pas, la mairie envisage d’échanger avec les autorités en charge de la sécurité et voir, en la matière, les stratégies à utiliser pour leur expulsion du territoire de la commune de Guibéroua.
Dd/kp
