Divo – La présidente du comité technique du "partenariat pour un gouvernement ouvert" (OGP), Angoua Ehouman Chantal, a achevé, vendredi, une mission destinée à la présentation de l’initiative aux populations du département de Divo.
Egalement conseillère technique du ministre de l’Industrie et des Mines, Mme Angoua a animé, jeudi, un atelier avec les membres du comité de développement local minier (CDLM) d’Agbaou avant de visiter, vendredi, les ouvrages communautaires réalisés dans le cadre des activités dudit comité.
La Côte d’Ivoire est membre du partenariat pour un gouvernement ouvert depuis 2015. Elle a élaboré en 2016 son premier plan d’action national OGP qui comporte 15 engagements ayant pour but de renforcer la transparence au niveau de la gestion des affaires publiques.
L’engagement porté par le ministère de l’Industrie et des Mines concerne la mise en place et le fonctionnement des comités de développement local minier. Il a pour objectif d’impliquer les populations riveraines des sites en exploitation dans le choix des projets socioéconomiques à réaliser grâce à un fonds alloué par la société d’exploitation minière dans la localité.
Selon Mme Angoua, l’OGP promeut la transparence dans la gestion des affaires publiques, la lutte contre la corruption et encourage l’exploitation des nouvelles technologies de l’information et de la communication.
"Il s’agit de renforcer la qualité de la gouvernance dans un esprit de collaboration avec les acteurs non étatiques, les organisations de la société civile et les médias", a déclaré la présidente du comité tout en précisant que "l’OGP n’est pas un organe pour aller traquer, aller sanctionner".
"En voulant lutter contre la corruption l’OGP est là pour aiguillonner les consciences, les esprits pour qu’il y ait un nouveau comportement, un nouvel esprit, une nouvelle façon de faire", a fait remarquer la conseillère technique du ministre de l’Industrie et des Mines.
(AIP)
Gso/kp
Egalement conseillère technique du ministre de l’Industrie et des Mines, Mme Angoua a animé, jeudi, un atelier avec les membres du comité de développement local minier (CDLM) d’Agbaou avant de visiter, vendredi, les ouvrages communautaires réalisés dans le cadre des activités dudit comité.
La Côte d’Ivoire est membre du partenariat pour un gouvernement ouvert depuis 2015. Elle a élaboré en 2016 son premier plan d’action national OGP qui comporte 15 engagements ayant pour but de renforcer la transparence au niveau de la gestion des affaires publiques.
L’engagement porté par le ministère de l’Industrie et des Mines concerne la mise en place et le fonctionnement des comités de développement local minier. Il a pour objectif d’impliquer les populations riveraines des sites en exploitation dans le choix des projets socioéconomiques à réaliser grâce à un fonds alloué par la société d’exploitation minière dans la localité.
Selon Mme Angoua, l’OGP promeut la transparence dans la gestion des affaires publiques, la lutte contre la corruption et encourage l’exploitation des nouvelles technologies de l’information et de la communication.
"Il s’agit de renforcer la qualité de la gouvernance dans un esprit de collaboration avec les acteurs non étatiques, les organisations de la société civile et les médias", a déclaré la présidente du comité tout en précisant que "l’OGP n’est pas un organe pour aller traquer, aller sanctionner".
"En voulant lutter contre la corruption l’OGP est là pour aiguillonner les consciences, les esprits pour qu’il y ait un nouveau comportement, un nouvel esprit, une nouvelle façon de faire", a fait remarquer la conseillère technique du ministre de l’Industrie et des Mines.
(AIP)
Gso/kp