La France a décidé d’accorder un appui financier de 2,125 milliards d’euros (environ 1394 milliards FCFA) à la Côte d’Ivoire, sur la période 2017-2020. L’annonce a été faite par le Premier ministre ivoirien Amadou Gon Coulibaly (photo), au terme d’une mission française qui s’est déroulée à Abidjan, les 12 et 13 juillet 2017.
Cet important engagement financier de la France envers la Côte d’Ivoire, permettra essentiellement de financer des projets dans « certains secteurs prioritaires inscrits au Plan National de Développement (PND) 2016-2020 » a déclaré le Premier ministre ivoirien.
Ainsi, 725 millions d’euros (environ 475,5 milliards FCFA) seront affectés au financement de projets dans les secteurs de l’énergie, des routes, de la santé, de la sécurité, de l’éducation et de la formation. Tandis que 1,4 milliard d’euros (environ 918,34 milliards FCFA) permettra de « boucler le financement de la ligne 1 du métro d’Abidjan ».
Ce qui permet, à présent, d’envisager le démarrage des travaux de cette ligne de métro maintes fois reporté, en raison de points d’achoppements entre le gouvernement ivoirien et les entreprises attributaires du projet.
Toutefois, initialement estimée à environ 665 milliards FCFA (un peu plus d’un milliard d’euro), la note s’avère désormais un peu plus salée pour les autorités ivoiriennes puisque le coût de la ligne 1 du métro d’Abidjan, longue de 37,9 km, passe à 918,34 milliards FCFA (environ 1,4 milliard d’euros). En comparaison, le coût du métro de Dakar, long de 51 km, est estimé à 687 millions d’euros (environ 450 milliards FCFA).
A noter que la réalisation et l’exploitation de cette ligne de métro d’Abidjan, qui doit transporter 300 000 passagers par jour, a été attribuées à la Société de transport abidjanais sur rail (STAR). Elle est détenue par le français Bouygues (33%), le Coréen Hyundai Rotem (33%), le français Keolis, filiale de la SNCF (25%), et le Coréen Dongsan engineering (9%).
B.K
Cet important engagement financier de la France envers la Côte d’Ivoire, permettra essentiellement de financer des projets dans « certains secteurs prioritaires inscrits au Plan National de Développement (PND) 2016-2020 » a déclaré le Premier ministre ivoirien.
Ainsi, 725 millions d’euros (environ 475,5 milliards FCFA) seront affectés au financement de projets dans les secteurs de l’énergie, des routes, de la santé, de la sécurité, de l’éducation et de la formation. Tandis que 1,4 milliard d’euros (environ 918,34 milliards FCFA) permettra de « boucler le financement de la ligne 1 du métro d’Abidjan ».
Ce qui permet, à présent, d’envisager le démarrage des travaux de cette ligne de métro maintes fois reporté, en raison de points d’achoppements entre le gouvernement ivoirien et les entreprises attributaires du projet.
Toutefois, initialement estimée à environ 665 milliards FCFA (un peu plus d’un milliard d’euro), la note s’avère désormais un peu plus salée pour les autorités ivoiriennes puisque le coût de la ligne 1 du métro d’Abidjan, longue de 37,9 km, passe à 918,34 milliards FCFA (environ 1,4 milliard d’euros). En comparaison, le coût du métro de Dakar, long de 51 km, est estimé à 687 millions d’euros (environ 450 milliards FCFA).
A noter que la réalisation et l’exploitation de cette ligne de métro d’Abidjan, qui doit transporter 300 000 passagers par jour, a été attribuées à la Société de transport abidjanais sur rail (STAR). Elle est détenue par le français Bouygues (33%), le Coréen Hyundai Rotem (33%), le français Keolis, filiale de la SNCF (25%), et le Coréen Dongsan engineering (9%).
B.K