Guillaume Soro est plus que déterminé à se hisser au plus haut sommet de l’État en Côte d'Ivoire. Dans cette course, à mort, au pouvoir où les ambitions s'affichent de façon vigoureuse, le président de l'Assemblée nationale abat ses cartes l'une après l'autre, à la fois avec assurance et prudence.
Dans le camp au pouvoir, ses détracteurs disent qu'il est «trop jeune» et «trop pressé». Il devrait donc attendre son tour et laisser passer ses aînés, la génération intermédiaire entre l'actuel président de la République et lui. De bonnes sources, le chef de l’État, parlant de sa succession, aurait même dit que Soro et Hamed Bakayoko devraient attendre 2025 ou 2030, leur préférant ainsi Amadou Gon Coulibaly et Daniel Kablan Duncan.
Du côté de... suite de l'article sur L’Inter
Dans le camp au pouvoir, ses détracteurs disent qu'il est «trop jeune» et «trop pressé». Il devrait donc attendre son tour et laisser passer ses aînés, la génération intermédiaire entre l'actuel président de la République et lui. De bonnes sources, le chef de l’État, parlant de sa succession, aurait même dit que Soro et Hamed Bakayoko devraient attendre 2025 ou 2030, leur préférant ainsi Amadou Gon Coulibaly et Daniel Kablan Duncan.
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