Séguéla – Un jeune homme de 20 ans, Bomisso Anicet, a été condamné par les juges de la section de tribunal de Séguéla (Nord-ouest, région du Worodougou) à six mois de réclusion et à 200 000 F CFA d’amende, pour le recel d’une motocyclette, au cours de la récente audience correctionnelle des flagrants délits.
« Il m’a dit que c’est pour son papa », a tenté de se justifier, mercredi, le prévenu confronté à son complice, un mineur qui a commis tout seul le vol, courant juin, à Bouaké, lors de la célébration du Ramadan.
« Bomisso Anicet a accepté de se faire passer pour le propriétaire de la moto parce que le petit savait qu’il n’avait aucune chance de la vendre seul. Mais, leur allure suspecte au moment de la transaction a éveillé les soupçons des potentiels acheteurs. Pressés de questions, ils ont tenté de s’enfuir et ont été rattrapés », a déclaré le substitut résident du procureur de la République lors de son réquisitoire, avant de demander six mois fermes d’emprisonnement.
Le tribunal, statuant publiquement, contradictoirement, en matière correctionnelle et en premier ressort, a reconnu Bomisso Anicet coupable des faits qui lui sont reprochés, mais en lui reconnaissant des circonstances atténuantes prévues à l’article 117 du code pénal.
(AIP)
kkp/kam
« Il m’a dit que c’est pour son papa », a tenté de se justifier, mercredi, le prévenu confronté à son complice, un mineur qui a commis tout seul le vol, courant juin, à Bouaké, lors de la célébration du Ramadan.
« Bomisso Anicet a accepté de se faire passer pour le propriétaire de la moto parce que le petit savait qu’il n’avait aucune chance de la vendre seul. Mais, leur allure suspecte au moment de la transaction a éveillé les soupçons des potentiels acheteurs. Pressés de questions, ils ont tenté de s’enfuir et ont été rattrapés », a déclaré le substitut résident du procureur de la République lors de son réquisitoire, avant de demander six mois fermes d’emprisonnement.
Le tribunal, statuant publiquement, contradictoirement, en matière correctionnelle et en premier ressort, a reconnu Bomisso Anicet coupable des faits qui lui sont reprochés, mais en lui reconnaissant des circonstances atténuantes prévues à l’article 117 du code pénal.
(AIP)
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