Après avoir échoué au bas du podium lors des jeux olympiques de Rio 2016, l’athlète ivoirienne Marie Josée Ta Lou n’a pas baissé les bras et a continué à bosser dur.
Ce dimanche, elle a été récompensée avec le titre de vice championne du monde, de justesse derrière l’américaine Tori Bowie en 10.86".
"Il s’agit d’un rêve qui devient une réalité. A Rio j’ai raté la médaille de justesse et cette année, ce n’était pas évident d’être au meilleur de ma forme. Je remercie Dieu et mon entraineur" , se réjouit-elle.
Avec le temps elle a appris à ne pas sous-estimer ses adversaires et cela lui a été bénéfique, selon ses dires.
Malgré la joie intense qui l’anime, Ta Lou n’oublie pas l’immense soutien que lui a apporté son confrère Méïté Ben Youssef : "Il m’a dit que j’ai le potentiel d’aller sur le podium et m’a demandé de ne pas stresser, de juste faire la course et le reste viendra. J’étais donc focalisée sur la course et le résultats a suivi".
Avec cette médaille, la jeune athlète rentre un peu plus dans l’histoire de l’athlétisme ivoirien. Une fierté pour la Côte d’Ivoire et sa famille dont sa mère qui est son premier supporter.
Atapointe
Ce dimanche, elle a été récompensée avec le titre de vice championne du monde, de justesse derrière l’américaine Tori Bowie en 10.86".
"Il s’agit d’un rêve qui devient une réalité. A Rio j’ai raté la médaille de justesse et cette année, ce n’était pas évident d’être au meilleur de ma forme. Je remercie Dieu et mon entraineur" , se réjouit-elle.
Avec le temps elle a appris à ne pas sous-estimer ses adversaires et cela lui a été bénéfique, selon ses dires.
Malgré la joie intense qui l’anime, Ta Lou n’oublie pas l’immense soutien que lui a apporté son confrère Méïté Ben Youssef : "Il m’a dit que j’ai le potentiel d’aller sur le podium et m’a demandé de ne pas stresser, de juste faire la course et le reste viendra. J’étais donc focalisée sur la course et le résultats a suivi".
Avec cette médaille, la jeune athlète rentre un peu plus dans l’histoire de l’athlétisme ivoirien. Une fierté pour la Côte d’Ivoire et sa famille dont sa mère qui est son premier supporter.
Atapointe