Les autorités ecclésiastiques de l’archidiocèse de Bouaké ont consacré, dimanche, à la bénédiction de la nouvelle chapelle d’Agoua Kongokro, dans la sous-préfecture de Bouaké, et procédé à son inauguration officielle sous la dénomination de "Notre Dame de l’espérance".
Le vicaire général de l’archidiocèse de Bouaké, le père Alain Pierre, et son collègue Emmanuel Adjoumani ont consacré à Dieu, par des prières et un acte symbolique d’aspersion d’eau bénite, les fidèles et la chapelle Notre Dame de l’espérance entièrement financée par l’archidiocèse de Bouaké et bâtie sur une période de deux ans avec une capacité d’accueil de près de 300 personnes.
Avant la construction de cet édifice électrifié et doté d’un matériel de sonorisation, les fidèles "squattaient" le centre médical confessionnel du village qui servait en partie de lieu d’adoration.
Le vicaire général de l’archidiocèse de Bouaké a souligné que l’aspersion d’eau bénite est "un signe fort" traduisant la vie au sein cette communauté sans laquelle le bel édifice ne servira rien.
Dans son homélie, le père Alain Pierre a exhorté, sur la base des saintes écritures, les fidèles à persévérer dans l’effort pour obtenir la victoire face aux épreuves de la foi et croître spirituellement. Il leur a conseillé d’annoncer l’évangile et de mener une vie de bon témoignage pour impacter positivement les autres habitants du village afin de permettre à cette œuvre de subsister et d’accueillir de nouveaux convertis.
Le président du comité d’organisation de la cérémonie, N’Zè Justin, a promis la construction d’un presbytère dans un avenir proche, afin de bénéficier de la présence d’un prêtre dans le village. Il a plaidé par ailleurs pour la formation d’une chorale locale pour remplacer celle de la paroisse Saint Martin de Bouaké qui a animé la messe de bénédiction de la chapelle.
Nbf/akn/kp
Le vicaire général de l’archidiocèse de Bouaké, le père Alain Pierre, et son collègue Emmanuel Adjoumani ont consacré à Dieu, par des prières et un acte symbolique d’aspersion d’eau bénite, les fidèles et la chapelle Notre Dame de l’espérance entièrement financée par l’archidiocèse de Bouaké et bâtie sur une période de deux ans avec une capacité d’accueil de près de 300 personnes.
Avant la construction de cet édifice électrifié et doté d’un matériel de sonorisation, les fidèles "squattaient" le centre médical confessionnel du village qui servait en partie de lieu d’adoration.
Le vicaire général de l’archidiocèse de Bouaké a souligné que l’aspersion d’eau bénite est "un signe fort" traduisant la vie au sein cette communauté sans laquelle le bel édifice ne servira rien.
Dans son homélie, le père Alain Pierre a exhorté, sur la base des saintes écritures, les fidèles à persévérer dans l’effort pour obtenir la victoire face aux épreuves de la foi et croître spirituellement. Il leur a conseillé d’annoncer l’évangile et de mener une vie de bon témoignage pour impacter positivement les autres habitants du village afin de permettre à cette œuvre de subsister et d’accueillir de nouveaux convertis.
Le président du comité d’organisation de la cérémonie, N’Zè Justin, a promis la construction d’un presbytère dans un avenir proche, afin de bénéficier de la présence d’un prêtre dans le village. Il a plaidé par ailleurs pour la formation d’une chorale locale pour remplacer celle de la paroisse Saint Martin de Bouaké qui a animé la messe de bénédiction de la chapelle.
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