La plus grande université publique en Côte d'Ivoire, l'université Félix Houphouët-Boigny de Cocody, a été paralysée par une grève des étudiants, qui ont organisé mercredi à Abidjan une marche pour réclamer la réhabilitation des résidences universitaires, a constaté Xinhua sur place.
La marche s'est déroulée dans l'enceinte de la plus grande université publique, sur moins d'un kilomètre entre le Centre régional des œuvres universitaires d'Abidjan et le parking de la présidence de l'université.
"Je suis étudiant et je dors dans les toilettes", "Réhabilitez nos résidences universitaires", pouvait-on lire sur des banderoles et pancartes portées par des manifestants ayant répondu à l'appel de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d'Ivoire (Fesci, le principal syndicat d'élèves et d'étudiants).
Selon les manifestants, de nombreux étudiants vivent dans une situation précaire, et les cités universitaires devraient permettre de résoudre le problème de logements auquel ils sont confrontés.
Plusieurs résidences universitaires avaient été pillées durant la crise militaropolitique de 2011. Un programme de réhabilitation des universités et des cités d'étudiants a été lancé en 2011 à hauteur de plus de 100 milliards FCFA. Certaines résidences universitaires ont connu une réhabilitation, mais d'autres se trouvent encore dans un état de destruction.
Plusieurs cargos de policiers étaient stationnés mercredi aux principales entrées de l'université. Il n'y a pas eu d'accrochage avec les manifestants qui sont restés dans le périmètre du campus.
La marche s'est déroulée dans l'enceinte de la plus grande université publique, sur moins d'un kilomètre entre le Centre régional des œuvres universitaires d'Abidjan et le parking de la présidence de l'université.
"Je suis étudiant et je dors dans les toilettes", "Réhabilitez nos résidences universitaires", pouvait-on lire sur des banderoles et pancartes portées par des manifestants ayant répondu à l'appel de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d'Ivoire (Fesci, le principal syndicat d'élèves et d'étudiants).
Selon les manifestants, de nombreux étudiants vivent dans une situation précaire, et les cités universitaires devraient permettre de résoudre le problème de logements auquel ils sont confrontés.
Plusieurs résidences universitaires avaient été pillées durant la crise militaropolitique de 2011. Un programme de réhabilitation des universités et des cités d'étudiants a été lancé en 2011 à hauteur de plus de 100 milliards FCFA. Certaines résidences universitaires ont connu une réhabilitation, mais d'autres se trouvent encore dans un état de destruction.
Plusieurs cargos de policiers étaient stationnés mercredi aux principales entrées de l'université. Il n'y a pas eu d'accrochage avec les manifestants qui sont restés dans le périmètre du campus.
