Vavoua - Des gamins font partie des bouviers peulhs qui conduisent quotidiennement les troupeaux de bœufs sur les pistes des localités de la sous-préfecture de Vavoua (Centre-Ouest, région du Haut-Sassandra), a constaté l'AIP.
Le cas le plus frappant est celui de Diallo Ahmed, environ huit ans, qui veille sur un troupeau d’une vingtaine de bœufs, le bâton bloqué à ses deux bras et à son tendre cou. Il semble joyeux et épanoui avec un sourire aux lèvres lors d’un entretien avec le correspondant de l’agence.
"Chaque matin, nous veillons à faire brouter les bœufs dans la savane. C’est notre métier. Nous ne sommes pas scolarisés", a indiqué, en bambara (langue locale), Bambara Diallo Salifou, 15 ans et frère aîné d’Ahmed.
Plusieurs enfants d’éleveurs peulhs se retrouvent souvent en compagnie des bœufs, avec du lait de vache dans des bouteilles en plastique qu'ils commercialisent, ignorant que l’école est obligatoire en Côte d’Ivoire, de six à 16 ans, note-t-on.
sk/amak/kp
Le cas le plus frappant est celui de Diallo Ahmed, environ huit ans, qui veille sur un troupeau d’une vingtaine de bœufs, le bâton bloqué à ses deux bras et à son tendre cou. Il semble joyeux et épanoui avec un sourire aux lèvres lors d’un entretien avec le correspondant de l’agence.
"Chaque matin, nous veillons à faire brouter les bœufs dans la savane. C’est notre métier. Nous ne sommes pas scolarisés", a indiqué, en bambara (langue locale), Bambara Diallo Salifou, 15 ans et frère aîné d’Ahmed.
Plusieurs enfants d’éleveurs peulhs se retrouvent souvent en compagnie des bœufs, avec du lait de vache dans des bouteilles en plastique qu'ils commercialisent, ignorant que l’école est obligatoire en Côte d’Ivoire, de six à 16 ans, note-t-on.
sk/amak/kp