Séguéla, 21 oct (AIP) – Les journées régionales des droits de l’homme à Séguéla (Centre-ouest, région du Worodougou) ont connu une franche réussite, selon le vice-président de la Ligue ivoirienne des droits de l’homme (LIDHO), Neth Willy Alexandre lors de l’apothéose, vendredi nuit, à l’espace meetings Madêgbê.
"Ça été un véritable succès parce que les populations ont été très réceptives aux messages", a déclaré M. Neth, chargé de la politique d’implantation de la LIDHO et de la vie des sections, visiblement heureux que l’espace Madêgbê soit bondé de monde venu assister à une projection de film sur le respect des droits humains, aux prestations d’artistes locaux et à un sketch sur les mariages précoces de la talentueuse troupe de théâtre 'Les merveilles de Séguéla'.
"Face aux attentes, les cinq jours ne sont pas suffisants. C’est par ignorance que les gens posent certains actes", a-t-il ajouté, annonçant la mise en place, "dans un délai de trois mois", d’une plateforme de concertation pour régler les problèmes récurrents de sécurité, d’unions forcées, de conflits entre éleveurs et agriculteurs ainsi que les violences basées sur le genre (VBG) énumérés par les différentes couches de la société rencontrées.
Les journées régionales des droits de l’homme, une composante du 'Projet de renforcement du système judiciaire et pénitentiaire et de la protection des droits de l’homme en Côte d’Ivoire' est financé par l’Agence française de développement (AFD).
Elles se dérouleront dans 29 villes dont Daoukro et Bongouanou, les prochaines étapes, a-t-on annoncé.
(AIP)
Kkp/kp
"Ça été un véritable succès parce que les populations ont été très réceptives aux messages", a déclaré M. Neth, chargé de la politique d’implantation de la LIDHO et de la vie des sections, visiblement heureux que l’espace Madêgbê soit bondé de monde venu assister à une projection de film sur le respect des droits humains, aux prestations d’artistes locaux et à un sketch sur les mariages précoces de la talentueuse troupe de théâtre 'Les merveilles de Séguéla'.
"Face aux attentes, les cinq jours ne sont pas suffisants. C’est par ignorance que les gens posent certains actes", a-t-il ajouté, annonçant la mise en place, "dans un délai de trois mois", d’une plateforme de concertation pour régler les problèmes récurrents de sécurité, d’unions forcées, de conflits entre éleveurs et agriculteurs ainsi que les violences basées sur le genre (VBG) énumérés par les différentes couches de la société rencontrées.
Les journées régionales des droits de l’homme, une composante du 'Projet de renforcement du système judiciaire et pénitentiaire et de la protection des droits de l’homme en Côte d’Ivoire' est financé par l’Agence française de développement (AFD).
Elles se dérouleront dans 29 villes dont Daoukro et Bongouanou, les prochaines étapes, a-t-on annoncé.
(AIP)
Kkp/kp
