Le député de Dimbokro commune et sous-préfecture, Yao Kouadio Séraphin a fait don de vivres et de non-vivres aux déplacés du conflit de l’Ouest ivoirien à Dimbokro, lors d’une cérémonie de remise, vendredi, au centre social.
Ce don d’une valeur de 1,5 million FCFA, constitué de produits alimentaires, de vêtements et de chaussures, a été réceptionné par le directeur régional de la Femme, de la Protection de l’enfant et de la Solidarité, Traoré Sékou. « Ce geste a un caractère purement social. Il s’agit de courir au chevet des frères et sœurs qui vivent des situations difficiles. Il est tout à fait humain de leur donner l’espoir de vivre », a déclaré Yao Séraphin.
Traoré Sékou a salué l’acte du député. Il a souligné avoir enregistré plus d’une centaine de familles déplacées depuis l’éclatement du conflit communautaire, affirmant que toutes les démarches ont été entreprises pour les recaser dans leur village d’origine.
« La réinsertion est difficile car ces familles sont totalement démunies. L’autre défi à relever est de réinsérer les élèves dans cursus scolaire de la région », a ajouté M. Traoré, espérant que d’autres cadres de la région suivront l'exemple du député.
Début octobre, de nombreux déplacés Baoulé, notamment des élèves et écoliers, sont arrivés dans le N’zi, leur région d’origine, suite au conflit foncier survenu dans l’Ouest de la Côte d’Ivoire, singulièrement à Guiglo.
ik/cmas
Ce don d’une valeur de 1,5 million FCFA, constitué de produits alimentaires, de vêtements et de chaussures, a été réceptionné par le directeur régional de la Femme, de la Protection de l’enfant et de la Solidarité, Traoré Sékou. « Ce geste a un caractère purement social. Il s’agit de courir au chevet des frères et sœurs qui vivent des situations difficiles. Il est tout à fait humain de leur donner l’espoir de vivre », a déclaré Yao Séraphin.
Traoré Sékou a salué l’acte du député. Il a souligné avoir enregistré plus d’une centaine de familles déplacées depuis l’éclatement du conflit communautaire, affirmant que toutes les démarches ont été entreprises pour les recaser dans leur village d’origine.
« La réinsertion est difficile car ces familles sont totalement démunies. L’autre défi à relever est de réinsérer les élèves dans cursus scolaire de la région », a ajouté M. Traoré, espérant que d’autres cadres de la région suivront l'exemple du député.
Début octobre, de nombreux déplacés Baoulé, notamment des élèves et écoliers, sont arrivés dans le N’zi, leur région d’origine, suite au conflit foncier survenu dans l’Ouest de la Côte d’Ivoire, singulièrement à Guiglo.
ik/cmas