Séguéla, 10 nov (AIP) – La section de tribunal de Séguéla (Centre-ouest, région du Worodougou) était l’attraction pour les populations locales dans le cadre d’une journée dite ‘’portes ouvertes’’ organisée par le Regroupement des acteurs ivoiriens des droits humains (RAIDH), jeudi, en présence des responsables d’association ainsi que des autorités traditionnelles et religieuses.
« Très peu sont nos concitoyens qui connaissent le fonctionnement du tribunal à travers ses principaux services que sont le siège, le parquet et le greffe », a admis le premier adjoint au maire, Sindou Dosso, qui souhaite donc que les représentants des couches sociales invités en fassent l’écho auprès des leurs afin que les populations puissent recourir plus fréquemment à l’instance judiciaire.
Pour le chargé des programmes du RAIDH, Fofana Souleymane, cette activité qui a pour objet de ‘’rétablir le lien de confiance entre la population et sa justice’’ est le clou du ‘’Projet de sensibilisation sur l’accès à la justice et la vulgarisation de l’assistance judiciaire dans les localités de Daloa et de Séguéla’’ financé par l’USAID par le truchement du programme ‘’Projustice’’.
Auparavant, en mars, ce fut la formation des agents de terrain, d’avril à juin, une sensibilisation de proximité et, en octobre, une sensibilisation de masse, rappelle-t-on.
« Il n’y a pas que la prison à la justice. Il y a beaucoup d’autres services où diverses prestations sont fournies », a indiqué le président de la section de tribunal de Séguéla, Dizoua Emmanuel, tout en exhortant les populations à recourir à ses services pour nombre d’actes tels que les certificats de nationalité, les casiers judiciaires, les extraits de registres de commerce et autres actes d’état civil.
Cette journée a également été l’occasion de consultations foraines gratuites en faveur des populations, a-t-on relevé.
Créée dans les années 70 et situé au quartier Rymer, la section de tribunal de Séguéla qui couvre les régions du Worodougou et du Béré est animée par 17 fonctionnaires au nombre desquels quatre magistrats et sept greffiers.
(AIP)
« Très peu sont nos concitoyens qui connaissent le fonctionnement du tribunal à travers ses principaux services que sont le siège, le parquet et le greffe », a admis le premier adjoint au maire, Sindou Dosso, qui souhaite donc que les représentants des couches sociales invités en fassent l’écho auprès des leurs afin que les populations puissent recourir plus fréquemment à l’instance judiciaire.
Pour le chargé des programmes du RAIDH, Fofana Souleymane, cette activité qui a pour objet de ‘’rétablir le lien de confiance entre la population et sa justice’’ est le clou du ‘’Projet de sensibilisation sur l’accès à la justice et la vulgarisation de l’assistance judiciaire dans les localités de Daloa et de Séguéla’’ financé par l’USAID par le truchement du programme ‘’Projustice’’.
Auparavant, en mars, ce fut la formation des agents de terrain, d’avril à juin, une sensibilisation de proximité et, en octobre, une sensibilisation de masse, rappelle-t-on.
« Il n’y a pas que la prison à la justice. Il y a beaucoup d’autres services où diverses prestations sont fournies », a indiqué le président de la section de tribunal de Séguéla, Dizoua Emmanuel, tout en exhortant les populations à recourir à ses services pour nombre d’actes tels que les certificats de nationalité, les casiers judiciaires, les extraits de registres de commerce et autres actes d’état civil.
Cette journée a également été l’occasion de consultations foraines gratuites en faveur des populations, a-t-on relevé.
Créée dans les années 70 et situé au quartier Rymer, la section de tribunal de Séguéla qui couvre les régions du Worodougou et du Béré est animée par 17 fonctionnaires au nombre desquels quatre magistrats et sept greffiers.
(AIP)
