Gagnoa - L’Ong Boby a offert mardi, 30 petites balles de vêtements friperie, aux détenus de la maison d’arrêt et de correction de Gagnoa, lors d’une cérémonie qui s’est tenue dans la cour de la prison civile.
« C’est pour nos frères et sœurs détenus », a indiqué le donateur, Sylla Mohamed, présidente de l’Ong Boby, qui a invité les bénéficiaires de la maison de correction à garder le courage et l’espoir jusqu’à leur sortie de prison, afin de reprendre la marche de leur vie.
Ce don d’une valeur marchande de plus de deux millions FCFA, est le quatrième réalisé par cette Ong, après celui aux enfants du village SOS d’Abobo, l’orphelinat de Bingerville, ainsi que dans de nombreuses écoles coraniques.
« Que des cas identiques se répètent », a souhaité le procureur du tribunal de Gagnoa, Touré Moussa, qui a plaidé pour que tous ceux qui peuvent aider les détenus, le fassent. Il a rappelé que la maison d’arrêt n’est pas pour les bannis, mais qu’il s’agit juste de corriger ceux qui y viennent.
« S’ils se sentent abandonnés, ils ne peuvent pas se resocialiser », a insisté le procureur, qui a salué ce type d’acte, et a encouragé les donateurs.
L’Ong Boby est basée en France et a existe officiellement depuis le 1er février 2015
(AIP)
dd/fmo
« C’est pour nos frères et sœurs détenus », a indiqué le donateur, Sylla Mohamed, présidente de l’Ong Boby, qui a invité les bénéficiaires de la maison de correction à garder le courage et l’espoir jusqu’à leur sortie de prison, afin de reprendre la marche de leur vie.
Ce don d’une valeur marchande de plus de deux millions FCFA, est le quatrième réalisé par cette Ong, après celui aux enfants du village SOS d’Abobo, l’orphelinat de Bingerville, ainsi que dans de nombreuses écoles coraniques.
« Que des cas identiques se répètent », a souhaité le procureur du tribunal de Gagnoa, Touré Moussa, qui a plaidé pour que tous ceux qui peuvent aider les détenus, le fassent. Il a rappelé que la maison d’arrêt n’est pas pour les bannis, mais qu’il s’agit juste de corriger ceux qui y viennent.
« S’ils se sentent abandonnés, ils ne peuvent pas se resocialiser », a insisté le procureur, qui a salué ce type d’acte, et a encouragé les donateurs.
L’Ong Boby est basée en France et a existe officiellement depuis le 1er février 2015
(AIP)
dd/fmo
