Bondoukou – Au total, 48 micro-projets ont été mis à la disposition des populations riveraines du parc national de la Comoé en 2017, indique un rapport, lors de la session conjointe du Comité de gestion local du parc et du Conseil de coordination du projet de protection de la biodiversité, organisée, samedi, à Bania, à 35 km de Bouna (Nord-est, région du Bounkani) par la direction Zone nord-est de l’Office ivoirien des parcs et réserves (OIPR).
Selon Zékré Sylvestre, chef de service en charge des mesures riveraines, sur les 48 microprojets mis en place, sept ont été entièrement réalisés tandis que 38 sont en cours de réalisation et trois n’ont pas encore été exécutés.
Ces projets, destinés à appuyer les populations riveraines du parc, concernent l’apiculture, la pisciculture, l’élevage de volaille et d’ovins, l’installation de sept forages sur les 10 prévus, la construction de logements de maitre, d’un centre de santé, de moulin et d’usine de transformation de Karité.
M. Zékré a indiqué que le coût de ces projets s’élève à 250 millions F CFA, financé par la Coopération française, à travers le Contrat de désendettement et de développement (C2D) avec l’appui technique de l’Agence nationale d’appui au développement rural (ANADER). Il a fait savoir que 130 millions F CFA ont été déjà engagés et 100 millions F CFA décaissés, soit 55% du montant prévu.
Situé au Nord-est de la Côte d’Ivoire, le parc national de la Comoé, d’une superficie de 1 149 150 ha constitue la plus grande aire protégée du pays et la troisième de l’Afrique de l’ouest. Ces richesses ont suscité un intérêt particulier au sein de la communauté internationale qui l’a inscrit comme réserve de biosphère en 1982 et site du patrimoine mondial en 1983.
zaar/kam
Selon Zékré Sylvestre, chef de service en charge des mesures riveraines, sur les 48 microprojets mis en place, sept ont été entièrement réalisés tandis que 38 sont en cours de réalisation et trois n’ont pas encore été exécutés.
Ces projets, destinés à appuyer les populations riveraines du parc, concernent l’apiculture, la pisciculture, l’élevage de volaille et d’ovins, l’installation de sept forages sur les 10 prévus, la construction de logements de maitre, d’un centre de santé, de moulin et d’usine de transformation de Karité.
M. Zékré a indiqué que le coût de ces projets s’élève à 250 millions F CFA, financé par la Coopération française, à travers le Contrat de désendettement et de développement (C2D) avec l’appui technique de l’Agence nationale d’appui au développement rural (ANADER). Il a fait savoir que 130 millions F CFA ont été déjà engagés et 100 millions F CFA décaissés, soit 55% du montant prévu.
Situé au Nord-est de la Côte d’Ivoire, le parc national de la Comoé, d’une superficie de 1 149 150 ha constitue la plus grande aire protégée du pays et la troisième de l’Afrique de l’ouest. Ces richesses ont suscité un intérêt particulier au sein de la communauté internationale qui l’a inscrit comme réserve de biosphère en 1982 et site du patrimoine mondial en 1983.
zaar/kam
