L’apôtre Brou Benoit dit avoir été oint par Dieu. Il est le leader-fondateur de la Mission évangélique Flamme pour l’amour du Christ(Mefac) dont le temple est situé au quartier Henri Konan Bédié, dans la commune d’Abengourou. Pendant des cultes, a-t-on appris, viennent témoigner hommes et femmes qui disent avoir retrouvé la santé grâce à ses prières. Alors, le dimanche 24 décembre dernier, précisément à l’occasion du culte de remerciements à Dieu, notre équipe de reportage s’est rendue sur les lieux pour en savoir plus.
Il est 10 h 45 min, le temple est plein. Après le culte d’adoration, vient la séance de témoignage. Mamadou Diarra, 30 ans, se lève et se dirige vers l’autel. «Aujourd’hui, grâce aux prières de l’apôtre Brou Benoit, je peux me déplacer sans avoir un quelconque appui. Or il y a un an, je ne pouvais pas me lever, ma femme et mes parents me transportaient comme un cadavre. Nous avons parcouru des hôpitaux et même certains camps de prières. En vain ! Lorsque ma femme a appris l’existence d’un apôtre dans le quartier HKB, on s’y est rendu, Il a prié pour moi et au bout d’un mois, j’ai pu me relever, en marchant d’abord doucement, Aujourd’hui, mes douleurs ne relèvent que du passé», confie-t-il.
A la suite de Mamadou Diarra, est intervenu à son tour Yapi Jean, ex-étudiant de 25 ans. Visiblement il semble heureux. «En 2016, j’étais couché dans ma chambre. A mon réveil, j’ai senti des douleurs dans mes membres inferieurs. Lorsque je tente de me relever, je retombe. J’ai cru à un Avc. Mais les examens médicaux que j’ai faits par la suite n’ont rien démontré. Je suis alors venu au village pour me faire traiter à l’indigénat. Cela ne m’a pas soulagé non plus. C’est ainsi que ma sœur m’a emmené ici et Dieu merci, comme vous le constatez je marche.
Yah Adeline, tient un bébé sur son épaule tout en souriant, parce que selon elle, elle n’avait jamais connu la joie de l’enfantement jusqu’à ce que sa vie change, grâce aux prières de l’apôtre Brou Benoit. La liste des témoignages n’est pas exhaustive.
L’évangéliste Brou, quant à lui, fait savoir qu’il était le président de la Jeunesse du Front populaire ivoirien d’Aniassué, chef-lieu de sous-préfecture, dans le département d’Abengourou jusqu’à ce qu’il reçoive, a-t-il confié, l’onction de guérison, de délivrance et surtout pour prôner la Flamme de l’amour du Christ. C’est ainsi, a ajouté l’homme de Dieu, qu’il a fondé sa mission, le 3 aout 2012.
Après cinq années passées à la tête de la Flamme de l’amour pour Christ, il revendique «300 fidèles, 13 individus guéris de la folie et 10 femmes qui ont fini par enfanter après avoir été déclarées stériles par la médecine moderne». L’apôtre Brou Benoit affirme que dans son temple, il n’utilise ni canari ni eau de quelque nature que ce soit, faisant ainsi allusion au fétichisme. Pour lui, bien au contraire, c’est par la puissance du Saint-Esprit qu’il guérit. «Lorsqu’on m’envoie un malade, je me laisse guider par le Saint-Esprit.
C’est lui qui me demande d’utiliser ce que le Seigneur me révèle et cela a toujours marché», assure l’apôtre Brou Benoit.
Jean GOUDALE
Il est 10 h 45 min, le temple est plein. Après le culte d’adoration, vient la séance de témoignage. Mamadou Diarra, 30 ans, se lève et se dirige vers l’autel. «Aujourd’hui, grâce aux prières de l’apôtre Brou Benoit, je peux me déplacer sans avoir un quelconque appui. Or il y a un an, je ne pouvais pas me lever, ma femme et mes parents me transportaient comme un cadavre. Nous avons parcouru des hôpitaux et même certains camps de prières. En vain ! Lorsque ma femme a appris l’existence d’un apôtre dans le quartier HKB, on s’y est rendu, Il a prié pour moi et au bout d’un mois, j’ai pu me relever, en marchant d’abord doucement, Aujourd’hui, mes douleurs ne relèvent que du passé», confie-t-il.
A la suite de Mamadou Diarra, est intervenu à son tour Yapi Jean, ex-étudiant de 25 ans. Visiblement il semble heureux. «En 2016, j’étais couché dans ma chambre. A mon réveil, j’ai senti des douleurs dans mes membres inferieurs. Lorsque je tente de me relever, je retombe. J’ai cru à un Avc. Mais les examens médicaux que j’ai faits par la suite n’ont rien démontré. Je suis alors venu au village pour me faire traiter à l’indigénat. Cela ne m’a pas soulagé non plus. C’est ainsi que ma sœur m’a emmené ici et Dieu merci, comme vous le constatez je marche.
Yah Adeline, tient un bébé sur son épaule tout en souriant, parce que selon elle, elle n’avait jamais connu la joie de l’enfantement jusqu’à ce que sa vie change, grâce aux prières de l’apôtre Brou Benoit. La liste des témoignages n’est pas exhaustive.
L’évangéliste Brou, quant à lui, fait savoir qu’il était le président de la Jeunesse du Front populaire ivoirien d’Aniassué, chef-lieu de sous-préfecture, dans le département d’Abengourou jusqu’à ce qu’il reçoive, a-t-il confié, l’onction de guérison, de délivrance et surtout pour prôner la Flamme de l’amour du Christ. C’est ainsi, a ajouté l’homme de Dieu, qu’il a fondé sa mission, le 3 aout 2012.
Après cinq années passées à la tête de la Flamme de l’amour pour Christ, il revendique «300 fidèles, 13 individus guéris de la folie et 10 femmes qui ont fini par enfanter après avoir été déclarées stériles par la médecine moderne». L’apôtre Brou Benoit affirme que dans son temple, il n’utilise ni canari ni eau de quelque nature que ce soit, faisant ainsi allusion au fétichisme. Pour lui, bien au contraire, c’est par la puissance du Saint-Esprit qu’il guérit. «Lorsqu’on m’envoie un malade, je me laisse guider par le Saint-Esprit.
C’est lui qui me demande d’utiliser ce que le Seigneur me révèle et cela a toujours marché», assure l’apôtre Brou Benoit.
Jean GOUDALE
